Dissertation Sur L Assommoir 1
En relation, voyage au centre de la terre - fiche de lecture.
Je ne crois pas que l'on puisse associer Jules Verne à un quelconque mouvement littéraire. Il est contemporain du naturalisme de Zola, par exemple, mais il n'appartient pas pour autant au mouvement naturaliste¹. Son éditeur l'a placé malgré lui dans la catégorie « auteurs pour jeunes lecteurs », ce qui a fait de lui un auteur original de l'époque. Après avoir terminé ses études de droit, il refuse de succéder à son père à sa charge d'avoué: il fera une carrière littéraire. Il commence par écrire quelques poèmes qui ne connaitront pas un grand succès. En 1856, il fait la connaissance d'Honorine Morel et l'épouse en 1857; de cette union naîtra l'unique enfant de Jules Verne, Michel, le 3 août 1861.….

Introduction à une dissertation de l'assommoir de Zola 1ère S
Dissertation Les romanciers du XIXe siècle, notamment les naturalistes, se proposent de rendre compte à travers de larges fresques, de la société de leur époque. Zola fait vivre des centaines de personnages dans sa saga des Rougon-Macquart, dans des milieux divers, pour cette dissertation nous nous focaliseront sur L’Assommoir, 7eme roman de la série qui met en scène les déboires et la déchéance progressive d’une famille ouvrière dans les quartiers populaires de Paris. Émile Zola est un écrivain et journaliste français du XIXe siècle né à Paris le 2 avril 1840 et mort dans la même ville le 29 septembre 1902, chef de file du naturalisme , mouvement littéraire dérivé du réalisme qui consiste à tester des milieux sociaux, le roman est une éprouvette et l’auteur est un scientifique qui expérimente des situations. Le projet de Zola est de décrire en une fresque littéraire les effets de l’hérédité par le biais d’une famille , les « Rougon-Macquart » dans de nombreux aspects différents de la société qui lui était contemporaine. Il estime dans le roman expérimental que le romancier doit avant tout posséder le sens du réel et que son imagination est loin d’être une qualité essentiel.….
Commentaire entièrement rédigé de l'assomoir
Le roman acquiert une portée considérable au XIX°siècle en se faisant notamment l’instrument de l’exploration de l’histoire et du monde. Au moment de la publication de L’Assommoir dont cet extrait est tiré, Emile Zola fit scandale parce qu’il introduisait dans l’univers du roman le monde ouvrier, avec son langage et ses mœurs, que le public lettré n’était pas disposé à juger digne d’un sujet artistique. Dans le passage qui nous intéresse, il nous présente un ouvrier au travail : tandis que « la Gueule d’Or » façonne un boulon sous les yeux d’une blanchisseuse qui, par sa présence, a conduit deux hommes à faire assaut d’habileté. Comment le regard de Gervaise transforme-t-il le portrait de Gueule d’or ? Nous sommes d’abord invités….
Dissertation de l'Assommoir
Quelle est la part de l’imaginaire et de la créativité du romancier ? Pour réaliser et rédiger entièrement votre dissertation vous suivrez et développerez le plan ci-dessous. Il faut vous appuyer sur des passages du roman, les présenter et parfois les commenter brièvement. [ INTRODUCTION (elle se déroule toujours en trois temps : poser le contexte de l’œuvre ; amener et formuler votre problématique ; annoncer votre plan) : Qui est Zola ?….
Final wars - la guerre finale
-Ces romans montrent également la Société tel qu'elle était. -Cela a été en partie créé par Émile Zola. -Pour Zola un écrivain naturaliste est un scientifique car il est à la fois observateur et expérimentateur. -Ce mouvement a mis en lieux la science, la médecine, la psychiatrie.….
Emle zola : l'assomoir
Tout d’abord, on pourrait penser que le roman naturaliste est un roman vrai, néanmoins, pas vrai à la manière dite par les Goncourt. En effet, il l’est car il nous donne une vision excessivement réaliste, voire documentaliste, de la vie, notamment des classes populaires. Zola rejoint le réalisme de Balzac ou de Flaubert, mais avec une tendance éminemment scientifique : l'écrivain entreprend de traverser tous les milieux de la société du Second Empire, et, pour chacun d'eux, amasse une documentation colossale. Celle-ci n'est pas que livresque : il parcourt, par exemple pour L’Assommoir, le quartier de la Goutte d'Or en quête d'un langage populaire authentique.….
Commentaire l'assomoir
Commentai Introduction: Ce roman naturaliste montre la théorie de Zola dans le roman expérimentale. Ainsi dans l'extrait du chapitre XIII « la mort de Gervaise » de « l'Assomoire » écrit par Emile Zola, nous allons étudier l'illustration des théories naturalistes et nous analyserons une scène pathétique. Une illustration des théories naturalistes A) La représentation d'une réalité sordide….
fiche oral de français
Mais aussi des essais et de nombreuses lettres. De l’horrible danger de la lecture est un pamphlet de Voltaire publié en 1765. Il affecte la forme d’un édit de l’Empire ottoman. Dans le texte, Joussouf Chéribi, « Mouphti du Saint-Empire ottoman », s’élève contre la lecture, qui « tend évidemment à dissiper l’ignorance, qui est la gardienne et la sauvegarde des États bien policés. ».….
Commentaire Compose L Assomoir
Héritier de l’approche réaliste poussée dans sa forme la plus extrême, le courant naissant accueille les sciences naturelles et la Médecine expérimentale dans le domaine de la littérature. Chef de file du Naturalisme, Émile Zola marque le siècle, de 1871 à 1893, par le cycle des Rougon-Macquart qui narre « l’histoire naturelle et sociale d’une famille sous le Second Empire » en vingt romans, et où le projet, conscient, déterminé et réfléchi, donne la primauté de la science sur la sociologie ; le roman devient son laboratoire, et les personnages, marqués par le sceau de l’hérédité et du tempérament, placés dans des milieux spécifiques, deviennent des éléments d’étude expérimentale, répondant à une certaine équation. L’Assommoir constitue le septième volume de la série, et se consacre totalement au monde ouvrier, restitue sa langue et ses mœurs tout en décrivant les ravages causés par la misère et l’alcoolisme. Gervaise Macquart, personnage central de l’œuvre, est une pauvre blanchisseuse qui s’en sort en se mariant avec Coupeau avant de mieux retomber plus bas tard dans le récit.….
Biographie Molière
Il a un très fort attachement au réalisme et publie en tout six romans et seize nouvelles. Puis Guy de Maupassant tombe malade, sombre dans la folie et meurt le 6 juillet 1893 en laissant derrière lui deux romans inachevés « l’Angélus » et « l’Ame étrangère ». Emile Zola né en 1840 est un écrivain naturaliste. Il devient d’abord chef de publicité à la librairie Hachette qui lui permet de connaître des grands auteurs. Il se lance ensuite dans une carrière de journaliste engagé.….
L'assomoire
Mais celui-ci n'a pas vraiment marqué les esprits. Émile Zola reste à Hachette jusqu'en 1866. Cette même année il publie ses premières chroniques dans la presse. En 1876 il devient chef de file des naturalistes. Le naturalisme est un mouvement littéraire et artistique qui visait à reproduire objectivement la réalité.….
Fiche De Lecture Nana Zola
Le romancier va commencer sa nouvelle œuvre, d ailleurs au prix de grands efforts, vu la complication du plan et de l’intrigue . Durant toute la durée d'écriture de son roman, Zola a mené une véritable course contre le journal qui publiait ses feuilletons de Nana ; en effet, les dernières page de son récit ne seront rédigés qu'en janvier 1880 . De plus, le chef de fil du naturalisme, pour créer l'histoire folle de son personnage devait se documenter sur le monde des filles , enquêter sur le terrain et observer Paris, il utilise une technique ''d'observation et d'expérimentation '' en vue de créer un véritable ''document humain ''. Cette phrase du célèbre auteur résume parfaitement sa vison et reflète quelque peu le symbolisme qu'il revendique .'' Pour Nana, écrivit Zola, les réquisitoires dépassent tout ce qu'on peut imaginer… J'ai cherché à mettre de l'humanité sous mes phrases, j'ai eu l'ambition, sans doute trop grande, de vouloir planter debout une fille, la première venue, comme il y en a plusieurs….
Dissertation sur l'excipit de l'assomoir.
Dans une première partie, nous parlerons de la mort lente, douloureuse et dégradante de Gervaise après sa vie désastreuse ; et dans une seconde partie nous parlerons de l’indifférence et de la cruauté des personnes qui l’entourent. I – Mort lente, douloureuse et dégradante après une vie désastreuse. A- La déchéance progressive et la lenteur de sa mort (mais narration rapide).….
Dissertation
Lucas Bodin 2nd9 Dissertation sur «L’assommoir», Zola Qu’est ce qui fait de cette œuvre un document réaliste ? Quel est la part de l’imaginare et de la créativité du romancier ? Emile Zola chef de file du roman naturaliste estime que, dans le roman expérimental, le romancier doit….
En s'opposant à la perception de l'homme classique et à la dualité de la chair et de l'esprit attribué au mouvement romantique, le naturalisme entend substituer la nature humaine dans toute sa complexité. Zola anime et illustre le courant naturaliste avec la fresque des Rougon Macquart et si Thérèse Raquin n'appartient pas à ce cycle, la préface de la deuxième édition fait de ce roman une application naturaliste. L'œuvre de Zola a été l'objet de critiques très violentes en son temps et les attaques pour pornographie ont obligé le romancier à expliquer sa théorie. Jules Lemaître a alors qualifié les Rougon Macquart d' " épopée pessimiste de l'animalité humaine ". Ce critique envisage ainsi la fresque des Rougon Macquart sur le mode épique, c'est à dire sous un jour valorisant et glorieux, les personnages zoliens devenant des êtres aux dimensions universelles dont les parcours sont les images fondatrices de l'homme de ce siècle.….

- Base de l'essai

L’ASSOMOIR INTRODUCTION L’assommoir est le roman qui a rendu Émile Zola célèbre. Cest un texte naturaliste, traitant de la vie de Gervaise, parisienne qui subira une triste descente aux enfers. L’assommoir est le septième des Rougon-Macquart, ensemble dune vingtaine de romans de Zola, et en est notamment un des plus tendres et touchants. Cette micro-lecture cible la mort de Gervaise, dans les toutes dernières pages du r Elles est alors très di Cest un roman cons premier roman sur le du peuple Sni* to View pauvreté. t, selon Zola, « le as et qui ait l’odeur
La langue et les mœurs des ouvriers y sont décrits, tout en affichant les ravages causés par la misère et l’alcoolisme. Lors de sa parution, l’ouvrage est très controversé car il est jugé trop brutal et cru. Mais c’est ce réalisme qui, cependant, provoqua son succès : plus d’un siècle après sa parution, en 1876, l’Assommoir est encore l’un des romans français les plus lus. I. GERVAISE I LE PERSONNAGE Gervaise est l’héroine de l’Assomoir. Travailleuse, elle a bon cœur, la rendant faible voire lâche. amant Auguste Lantier vivent à Paris avec Claude et Etienne, leurs eux fils.
Lantier est paresseux et infidèle. Il quitte Gervaise pour Adèle, la laissant seule. Elle se remarie avec Coupeau, un ouvrier zingueur. Grâce au travail et aux économies, le ménage connaît bonheur et prospérité et a une petite fille, Nana. Un jour, Coupeau tombe d’un toit et se casse une jambe. Le couple doit s’endetter pour financer la convalescence. Peu après, Lantier resurgit, et il devient l’ami du couple. Lantier s’installe dans la boutique et refait la cour à Gervaise. Coupeau et Gervaise sombrent dans la paresse. Elle perd ainsi de l’argent et ernit sa réputation.
Coupeau devient alcoolique , tout comme Gervalse. Nana, devenue fleuriste se laisse entretenir par un vieil homme riche. Coupeau est enfin interné à l’hôpital Sainte-Anne. Il meurt fou peu de temps après, laissant Gervaise seule. Avec l’hiver arrive la faim, Gervaise, complètement démunie, doit se prostituer pour suwivre. Elle poursuit sa déchéance sociale et meurt dans l’indifférence la plus totale. 2. LA TRANSFORMATION Suite au décès de son mari, Gewaise sombre dans la pauvreté et la folie : Gervaise perdait la tête souvent[… remblant des pieds et des mains, lâchant de petits cris involontaires. Elle dégringolait plus bas un peu de fin tout les jours. Le texte lui fait perdre de son humanité • Un soir, on avait parié qu’elle ne mangerait pas quelque chose de dégoûtant; et elle liavait man é o PAG » OF d avait parié qu’elle ne mangerait pas quelque chose de dégoûtant; et elle l’avait mangé, pour gagner dix sous. Elle habite dans un placard sous un escalier, une « niche ». Elle dort sur de la vielle palle, « elle claquait du bec, le ventre vide et les os glacés. » On relève les champs lexicaux :
Du froid : « les os glacés », ‘froid et chaud » De la pauvreté : Elle est à la recherche de quelques pièces, la caisse des pauvres. De la saleté : « quelque chose de dégoûtant », « ordures », « ça sentait mauvais », « on la découvrit déjà verte ». Et de l’animalisation: « elle claquait du bec », « la nlche ». Ces thermes renforcent l’atrocité et les conditions dégradantes de la fin de la vie de Gervaise. II. LA MORT 1 LES CONDITIONS Zola insiste beaucoup sur la mort de Gervalse. Sa mort est longue et atroce, on relève beaucoup d’indicateurs de temps: Gervaise dura ainsi durant des mois et des mois.
Maintenant, elle habitait dans la niche du père Bru. Mourait un peu [… l tous les jours. La mort devait la prendre petit à petit Gervaise meurt donc dans sa niche, sans que personne ne s’en rende compte. Les voisins finissent par la découvrir, dérangés par l’odeur de son corps en putréfaction : « Un matin on se rappela que l’on ne l’avait pas vue depuis deux jours ; et on la découvrit déjà verte, dans sa niche. » Personne ne faisait plus attention à elle. Le pronom « on » insiste sur l’absurdité de sa mort : on ne sait as qui l’a découvert. Cest banal. PAGF3CFd
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Étude du roman L'assommoir d'Emile Zola
Par dissertation • 28 Novembre 2013 • Fiche • 309 Mots (2 Pages) • 1 514 Vues
Introduction:
L'Assommoir, œuvre d'Emile Zola, parue en 1877, appartient à l'esthétique naturaliste ; elle fait partie du plus vaste projet des Rougon Macquart. Gervaise, fille du contrebandier Macquart, d'une marchande à la Halle, est montée à paris pour suivre son amant, Auguste Lantier, dont elle a eu deux fils. Lantier finit par l'abandonner, la jeune femme se laisse alors courtiser par un ouvrier zingueur, Coupeau. Il l'invite dans notre extrait à prendre une prune à "L'Assommoir", cabaret du père Colombe où Gervaise et Copeau vont faire la découverte de l'alambic, machine à distiller l'alcool.Notre extrait se situe au début du roman, au chapitre deux, et constitue une pause descriptive dans la narration. En effet le narrateur sera externe à l‘histoire, va s'attarder sur la description de la machine à distiller en rapportant le discours et la vision des personnages : ici de Gervaise, de Coupeau et de l'ouvrier ivrogne Mes-bottes.
Ce roman est il un roman naturaliste ?
Dans une première partie nous verrons qu’il utilise un langue typique des ouvriers, puis dans une deuxième partie nous verrons les procédés, puis une troisième partie sur les descriptions authentiques menées par Zola et pour finir nous aurons une quatrième partie sur le jeu de regards des trois principaux personnages de notre extrait.
Développement:
On reconnaît là un procédé courant du roman: l'auteur délègue à un personnage sa fonction d'Informateur. Une autre exigence du naturalisme est que la description soit motivée: Zola n'oublie donc pas de préciser que c'est la curiosité, plus forte que l'heure de la reprise du travail pour Coupeau - mais galanterie oblige -qui mène Gervaise dans le sanctuaire où trône l'alambic. La curiosité la fait "aller regarder"; la crainte la fera "reculer" (1.36), mouvement qui met un terme au passage consacré à l'alambic. Les paroles rapportées, que ce soit au style direct pour Gervaise, ou au style indirect libre pour Mes-Bottes,..

Emile Zola is often regarded as the first major 19th century novelist to put the working-class in the novel as central characters of serious dramatic action. Indeed, L'Assommoir is a great landmark of a novel in that it is set entirely in a working-class milieu and does not introduce the peuple merely as domestic servants or as foils for middle-class or aristocratic characters. 1 However, Zola's reputation is deserved only if we limit our perspective to 19th century European novelists considered "major." Beyond these major figures though, there are plenty of lesser known and justly forgotten novelists who portrayed the people in their fiction. They have not survived in our memory no doubt chiefly because of their limitations as novelists, but there is another reason: they generally employed a sentimental or romance mode of narrative and of characterization that is now no longer acceptable or palatable. 2
Emile Zola may well owe some of his reputation as one of the first to introduce the working classes into central roles in his fiction to the fact that he shifts from the sentimental, romantic portrayal to one that is essentially ironic and quite pessimistic. This is not to imply that modern readers require a literature of condemnation and hatred of the people but that happy endings in the slums and saintly workers are less acceptable. Whatever his attitude toward the peuple —which seems to have been a cautious, critical sympathy—Zola implicitly attacks the traditions of the populist romance throughout the Les Rougon-Macquart series.
In both its visionary, transcendental aspects as well as its sociological claims Zola carries out this attack on the romantic notion of the common people, the populist romance. Romantic revolutionaries appear throughout the working-class episodes of Les Rougon-Macquart in a poor light; in addition, the portrait of the peuple at times seems consciously designed to negate practially all of the mayor ideas of the populist romance. This melancholy satire, or anti-romance, becomes a direct parody of situations, characters, events, names, and themes found in Victor Hugo's Les Misérables , that most important of all expressions of the populist romance, and, less directly, of ideas found in the writing of Jules Michelet. So fierce is the irony that Zola's own variation of the romantic populist becomes a character type in his fiction, and not a little of Hugo and Michelet as well as the other social romantics is to be found in such characters as Florent of Le Ventre de Paris , Sigismond of L'Argent , and even to a limited degree Etienne Lantier of Germinal . Beyond this rejection of Romantic sociology of the peuple , this rejection of the whole range of Romantic doctrine concerning the common people, and this satire of the romantic populist, Zola actually constructs a radically different vision of the peuple . If the Romantic vision had rested ultimately on a mythic basis, the peuple as a collective romance hero, a collective Christ or Christ-like martyr, or as a collective Prometheus, Zola changes that mythic basis and substitutes elements of the Orpheus story. Orpheus does not become a symbol of the peuple , rather, the symbol of the romantic revolutionary who attempts to politicize them. With a revolutionary Orpheus among the peuple , the problem of the intellectual's, the revolutionary's, or the populist's identity returns with full force, after Victor Hugo in Les Misérables has confidently assumed that the revolutionary must necessarily come from outside the plebian realm. 3
Though most of the principal novels of Les Rougon-Macquart which are set in the working class or which deal with that class in a substantial way develop this anti-romance of the people, L'Assommoir does so with particular force and will be one of the two principal novels for discussion. Certain aspects of the anti-populist romance, however, are less fully developed in this novel, and the focus must shift briefly at times to other plebian episodes— La Fortune des Rougon , Le Ventre de Paris , and particularly Germinal . 4 Something rather close to a systematic vision of the peuple develops out of the plebian episodes of the Rougon-Macquart series, and all of the elements of this vision, though some less obvious than others, tend to be present in each of them. Specifically, the elements of the Orpheus story, though present in L'Assommoir rather unobtrusively and in rather unusual combination, are carefully developed in Le Ventre de Paris and Germinal , and it is to that latter novel this study must conclude with an analysis of its Orphic elements.
L'Assommoir was considered at the time of its publication quite an insult to the working classes, despite Zola's own efforts in subsequent prefaces and introductions to present it as a sympathetic contribution to the effort to arouse concern for the social question among the powerful. 5 Though the novel does present a frightening and miserable portrait of the working class, no other class in the twenty novel series receives any better treatment, as Son Excellence Eugene Rougon , La Curée , and Pot-Bouille illustrate. All levels of society in the Second Empire are marked by the same general egoism, corruption, greed, cruelty, and reckless extravagance.
Zola's portrait of the peuple can be defended in one other respect; L'Assommoir is less of a political statement—if a political statement at all—than an aesthetic one. 6 Specifically, it constitutes an abrupt change in the narrative mode of portraying the working classes; it is a great protest against dreamy romantic visions of the sacred peuple . Zola's own working notes for L'Assommoir show him reminding himself not to fall into a romantic or sentimental mode of fictionalizing the people. Though he had in mind more popular literature such as Eugène Manuel's L'ouvrière which he actually mentions, he could have included the whole of "Romantic" literature, the archpriest of which he considered to be Victor Hugo.
Throughout his career from his early essay on Hugo, to the strong criticism incorporated in the final novel of the Rougon-Macquart series, Le Docteur Pascal , Zola waged a vigorous attack on Romanticism, which he viewed as much a "certain state of sensibility," in Mario Praz's words, 7 as an obsolescent literary movement. In Zola's view, Hugo is the grand Romantic and, despite his posture as a visionary, as "un apôtre "biblique de la démocratie," is simply a grand dreamer (I, p. 304) who has traversed his epoch without seeing it, his eyes fixed upon dreams ')">"époque sans la voir, les yeux fixés sur les rêves" (I, p. 316). 8 Having little patience with idealism or other worldliness of any kind, Zola sees Hugo's magnificent dream ')">"rêve magnifique" as simply chimerical, empty, delusive, and devoid of any relationship to "les réalités humaines" (I, p. 303); 9 for Hugo it is somewhat of a comedown to find himself Translation to come... ')">"sur nos trottoirs boueux, dans nos appartements mesquins ." Though these pronouncements were made in the heat of his campaign to win recognition for himself and what he was building up as the naturalist movement in literature, much of this same attitude survives. Even in the last novel of the Rougon-Macquart series, this troublesome human tendency appears in the heroine Laure and is combatted and criticized by the hero, Pascal; for him Translation to come... ')">"c'est l'éternel "besoin de mensonge, l'éternel besoin d'illusion qui travaille l'humanité et la ramène en arrière, au charme berceur de l'inconnu" (VI, pp. 1220-21). Like certain other characters in the series, Laure is preoccupied with Translation to come... ')">"l'inconnu, du mystère. C'était, chez elle, une obsession, une curiosité d'instinct qui arrivait à la torture, lorsqu'elle n'était pas satisfaite. Il y avail là un besoin que rien ne rassasiait, un appel irrésistible vers l'inaccessible, l'inconnaissable" (VI, p. 1216). Zola's romantic populists who have their dream visions of revolutionary apocalypse and edenic results are one manifestation of this more general character type which has the chronic need of the "rêve," the mysterious, the otherworldly. Both the thinker and the mode of thought—no matter whether they are found in religion, economics, or radical politics—are heavily satirized in Les Rougon-Macquart .
Les Rougon-Macquart contains a far more specific satire of the Romantic notion of the people, particularly that of Hugo in his Les Misérables . The working class episodes of Zola's series continually echo elements from Hugo's Les Misérables , that most famous of literary works devoted to the peuple . No doubt, Zola may have incorporated satiric allusions to other such writers and works, for example Poulot's which supplies some plot detail to L'Assommoir , but the language used to describe Silvère's, Etienne's, or Florent's flights into romantic revolutionary fantasies echoes that found in an early article by Zola on Victor Hugo and suggests that these characters were intended not as parodies of Hugo but as symbols of the entire obsolete generation of "social romantics," one of the greatest examples of which Zola held to be Hugo. Victor Hugo was in Zola's estimation simply the literary figure who Translation to come... ')">"incarna tout le mouvement de la première moitié du siècle" (I, p. 302) and whose "toute-puissance" over his generation had continued right into Zola's own time. Hugo had formulated romanticism in the way a powerful intellect Translation to come... ')">"met en lots les tâtonnements de ses devanciers." Romanticism, however, to Zola was simply one stage in the ceaseless evolution of all things; Hugo and his reigning style had become an obstacle to progress in literature and moreover in all aspects of human life. For Zola, Hugo Translation to come... ')">"est à seul tout le romantisme" (I, p. 309).
Hugo's absence from France had only increased the lack of realism in the way he viewed, the world, and had pushed, him more rapidly into his selfstyled role as "un apôtre biblique de la démocratie." Rather like Florent in Le Ventre , who had had his own exile from France on an island, though in the form of imprisonment, Hugo
Translation to come... ')">réclame le bonheur du genre humain, sans tenir compte des hommes. Il décrète la République universelle, comme si les éléments allaient lui obéir et constituer une nouvelle terre et un nouveau peuple . Esthétiquement, rien de plus large; c'est un rêve magnifique. (I, p. 304)
Like Etienne in Germinal who dreams of becoming a great revolutionary leader, Hugo, according to Zola, envisions himself as "notre maître à tous" and as "l'empereur du monde." Just as Florent's longed for return to Paris from Cayenne is in many ways a great disappointment, Hugo's return from exile is
Translation to come... ')">presque une déchéance pour lui que de se retrouver parmi nous, sur nos trottoirs boueux, dans nos apartements mesquins, lui qui dominait la mer et que nous représentions pareil à Isaïe, prophétisant au milieu des orages. Puts, Victor Hugo est fatalement rentré dans les luttes quotidiennes de la politique, et la politique rapetisse les poètes; elle les traîne dans les réalités humaines. (I, p. 303)
For this reason Hugo is trapped in the Romantic formula, exaggerating his attitude as a prophet (I, p. 316), Translation to come... ')">"son effarement et son vertige de visionnaire" and soaring further and further away from reality:
Translation to come... ')">Aujourd'jui, il en est là...Quand il parle d'un petit enfant, il croit que les étoiles écoutent. Et le pis est qu'il est devenu d'autant plus majestueux, que ses vers sont devenus plus vides. Je l'ai appelé un visionnaire. Ce mot le juge. Il a traversé l'époque sans la voir, les yeux fixés sur ses rêves. (I, p. 316)
Nevertheless, the peuple accepts him as its great poet even though it does not understand his work: workers buy his poetry and, though scarcely reading him, are able to imagine him as Translation to come... ')">"un homme politique dont il attend vaguement un âge d'or" (I, p. 309), just as the miners in Germinal hear the golden age in Etienne's impassioned speeches.
If the presence of "rêve" and "fantaisie" in Les Rougon-Macquart and the rejection of the Romantic sociology of the people do not indicate the kind of direct though subtle satire waged upon Hugo, there are other, more obvious elements that do. One of the most striking is the name of one of the mines in Germinal , Madeleine, the same as Jean Valjean's alias during that period in which he is mayor and successful manufacturer in Montreuil-sur-mer. Madeleine in Germinal is one of the mines in the Montsou region which is owned corporately and is controlled by rather anonymous interests in Paris. Like Madeleine in Hugo's novel, whose name becomes synonymous with a benevolent moralistic capitalism which sees to workers' every need, this mining corporation in Zola's novel provides housing for its employees and pensions, but beyond that it is an impersonal, voracious monster. There are in fact smaller, more personal, family-owned mines in the region, which retain a vague resemblance to Valjean's business, but they are doomed to be gobbled up by the corporate mines, as Deneulin's failure illustrates. Even at the very beginning of the Rougon-Macquart series, there are tantalizing similiarties to Les Misérables : in La Fortune des Rougon the character Miette, whose name both semantically and phonologically resembles Cosette's, 10 is troubled by the reputation of her father: the revolutionist workers and peasants reject her because "Son père est au bagne, nous ne voulons pas avec nous la fille d'un assassin" (II, p. 45). Of course, Cosette was not the real child, of Valjean though she was certainly cared for in that manner by the fugitive, but Valjean is indeed haunted throughout the novel by his alleged guilt as murderer and thief. There is the same question about the guilt of Miette's father as there is concerning Valjean. In a further similarity, Miette, who is practically speaking as much an orphan as Cosette, is farmed out to the Rébufat family which bears great similarity to the Thénardiers in its cruel exploitation of the little girl. Miette becomes a servant who does not have to be paid instead of a child to be taken care of; she is poorly cared for, fed, and. clothed; Rébufat like Thénardier Translation to come... ')">"l'accabla de besognes grossières, se servit d'elle comme d'une bête de somme" (II, p. 159). Miette and Silvère carry on their love affair much in the manner of Cosette and Marius—across a partition, a barrier, and in secret. These exterior similarities to Les Misérables , however, serve only to underline the enormous differences in Zola's views of, one, the nature of the common people and of, two, romantic visions of revolution in which the common people triumph over oppression and. establish a golden age.
Le Ventre de Paris , another of the plebian episodes in Les Rougon-Macquart , contains references which are unmistakably pointed at Hugo. The entire novel, the story of Florent's failure to readjust to Parisian life after his imprisonment at Cayenne and his failure to arouse a new 1848-like rebellion in the working-class, reads like a proof or demonstration of what Zola had written about Hugo: Translation to come... ')">"quand il a foudroyé les prêtres et les rois, en exaltant une fraternité idéale des peuple s, cela n'empechera les peuple s de se dévorer dans la suite des siècles" (I, p. 315). Even to the very end of the novel when the whole market district has turned against him and has revealed his radical activities to the police which moves immediately to arrest him, Florent remains naive about the Translation to come... ')">"loup" in humanity, its readiness to devour itself. Of all of Zola's romantic revolutionaries, Florent bears the most similarity to a composite of Victor Hugo and his creation Jean Valjean. Both Hugo and Florent in their own forms of exile on their different islands consider Napoléon III their enemy. Both Florent and Hugo envision themselves as "notre maître de tous" and plan out the great utopias that will come of their leadership. Florent's project, a book on his imprisonment in Cayenne with proposed reforms that extend across the whole of human institutions, bears a vaguely Hugolian title, Translation to come... ')">"La Clef des songes." Florent himself, as en ex-prisoner, or rather as a fugitive, enjoys a certain glory and prestige as a martyr just as Hugo bequeathes to Valjean an aura of saintly martyrdom. Of course, there is an echo of Notre-Dame de Paris in Claude Lantier's statement Translation to come... ')">"Ceci tuera cela, le fer tuera la pierre" (II, p. 732), when he predicts that the coming world will be all steel and ugliness like the new Halles market buildings. Claude acts like the Pierre Gringoire of the same novel in the early parts of Le Ventre as he strolls about the city viewing it esthetically and envisioning a new theory of art. More importantly, it is Claude who provides that statement which ironically echoes Les Misérables : in response to Madame François who blames Florent's failure and arrest on Paris, Claude retorts, Translation to come... ')">"Non, je sais qui c'est, ce sont des misérables" (II, p. 809). For him, it has been the peuple itself, like a pack of wolves, that has turned upon Florent and devoured him, one of Zola's favorite metaphors for human behavior. But Madame François herself voices an idea that is repeated with particular force in L'Assommoir , an idea which directly counters one in Les Misérables . In Hugo's novel Parisian air is described as idealistic and revolutionizing in itself; it is a bracing, healthy, vigorous spiritual climate which encourages a revolutionary march. However, Madame François finds it corrupt and infected; the market district is one vast metaphor for Paris as a whole. As Madame François advises Florent, on one of his visits to her in the country,
Translation to come... ')">Vous n'êtes plus le même, vous avez dix ans de moins. C'est ce gueux de Paris qui vous noircit la mine comme ça. Il me semble que vous avez un coup de soleil dans les yeux, maintenant...Voyez-vous, ça ne vaut rien les grandes villes; vous devriez venir demeurer ici... (II, p. 736)
In L'Assommoir , it is the air of Paris, particularly in Coupeau's case, that constantly ruins people rather than inspires them with the ideal. For a time Coupeau is sent to the country to overcome his increasing alcoholism, and this treatment seems to be successful. But once he returns, he is caught by the infected atmosphere again: as Zola explains, Translation to come... ')">"L'air de Paris le reprenait" (II, p. 847); and elsewhere, Translation to come... ')">"on ne se doute pas combien ça désaltère les pochards, de quitter l'air de Paris, où il y a dans les rues une vraie fumée d'eau-de-vie et de vin" (III, p. 844). The revolutionary spirit contained in the very air of Paris, according to Hugo, becomes the equally intoxicating fumes of alcohol in the Paris of L'Assommoir . And, for Zola, alcohol, religion, and romantic revolutionism are all synonymous—equally delusive, impractical, and destructive.
One of the Parisian elements most inspired by that atmosphere in Les Misérables is the gamin, at divine street urchin, represented by Gavroche. Orphaned or abandoned children, freely rambling about and living on the streets of Paris, also appear in Le Ventre . Instead of the mischievous but angelic creature described in Les Misérables , Muche, Marjolin, and Cadine in Le Ventre and Jeanlin among several in Germinal are all cruel, perverse, egoistic, and maliciously destructive. The latter are emphatically called "gamins"; in fact, Zola repeats the same water image for Muche in Le Ventre that Hugo used for Gavroche: Translation to come... ')">"Il avait pour les eaux ruisselantes des tendresses de petit poisson" (II, p. 669).
The instances in which Zola is engaged, in this parody—or more appropriately, allusive irony—in which he echoes elements of Les Misérables , could be multiplied, but at some point the certainty of intentional parallel fades. For example, in La Debacle Maurice and Jean have similar names to those of Marius and Jean. Coming from different social backgrounds, Maurice and Jean learn to overcome their traditional, class-bound antagonisms and become fast friends, each saving the other by the same means Valjean used to save Marius. As Jean Valjean does for Marius in Les Misérables , Jean Macquart rescues Maurice from the barricades of 1871, transports him through a burning and dangerous Paris, but Maurice does not survive. Similar, faintly Hugolian touches show up in L'Assommoir ; the rich old lecher who comes prowling for Nana is in some respects re-enacting, in Zola's terms, Valjean's interest in Cosette; curiously enough, this character in Zola's novel is rumored to he a retired, wealthy manufacturer of buttons, a fact which is repeatedly conspicuously often in a few pages (III, pp. 880-2). Similarly, Valjean in Paris can be considered wealthy and retired; in Montreuil-sur-mer he had manufactured jet which was often used to make buttons. However, to all but the most suspicious of minds, Valjean's interests in Cosette are entirely generous and paternal.
Romantic Sociology Repudiated
One of the most important narrative patterns that continually appears in the episodes of Les Rougon-Macquart involves the romantic revolutionary's ignorance or shock of recognition of the true nature of the peuple . Silvère in La Fortune , Florent in Le Ventre , and Sigismond in L'Argent are good examples of this blindness to the cruel and egoistic nature of the working class. These characters invoke the name of the peuple much in the same way as do Jules Michelet and fictional characters like the Princess Casamassima in James's novel or Beramendi in Galdós's. Nonetheless, the familiar romantic or partisan sociology, which assumes a certain superiority in the lower classes compared to the rest of society, reappears in the plebian episodes of the series and provides some of the foundations on which these characters build their political programs. In Zola's fictional world republican, socialist, or utopian politics assume, just as Michelet does, a certain innate goodness in human nature that will be freed by revolutionary transformations in the social and economic structure to express itself spontaneously. For Zola, such ideology makes no allowances for greed, laziness, selfishness, and inexplicable moral perversity in its blueprints for utopia. 11
L'Assommoir on the other hand presents the romantic populist with an enormous challenge to his concept of the people and his plans for the future. In chapter one, in quick succession, Zola shows us home, family, work, social relations—each of which has something terribly wrong with it. In fact we can scarcely call the group Lantier, Gervaise, and children form a "family," nor Gervaise's daily activity "work" in its more noble interpretation, nor her relationship with other people in the quartier "friendship." Reading L'Assommoir closely together with Michelet's Le Peuple , Zola's novel is a categorical repudiation, the question of conscious intention aside, of Michelet's idea or myth of the peuple .
L'Assommoir depicts the possibilities of violence, abandonment, adultery, degradation, and cruelty that are everywhere present in the life of the peuple . It is a startling repudiation of the kinds of things Michelet said in 1846 about them. Of course the nature of the peuple in Zola's world is only one manifestation of a more general notion of human nature. 12 L'Assommoir appeared and still does as a fresh gust of truth because it highlights the continuing fiction of the people for what it is—a fiction.
Instead L'Assommoir rejects in almost categorical way the crucial elements of the romantic sociology of the peuple . In Michelet this means several things: a belief in the innate goodness of man, the idea that the plebian milieu is morally and spiritually invigorating, and finally the related idea that the lower classes, the working people, have been the least corrupted of all social groups and thus are sociologically the healthiest. Two keys to Michelet's belief about the lower classes are the un-sociability of the upper classes and their materialism, which are sources of corruption. Michelet views the plebian home as a haven of tranquility and love and simplicity: the social circumstances of the common people actually work to instill or preserve in them those higher moral and social values. There is a stoicism in Michelet's thought about the common people that sees their hard work, their poverty, their necessarily simple lives, their lack of conventional education or high culture as healthy. For Michelet, these circumstances themselves elicit greater familial love and harmony, greater innate intelligence, greater sociability, and ultimately a higher and stronger sense of morality.
In L'Assommoir , the Goujets, a widowed mother and her twenty-five year old son, embody many of these values and are described in language that echoes Miehelet's sentimental evocations of the simple, humble lives of the common people. 13 However, the Goujets, despite their good. qualities and the help they provide Gervaise to start her own laundry, seem a caricature of what Michelet had written of the peuple ; their lives are dried, narrow, isolated; they seem frightened and suspicious of the rough working class world outside their neat and proper home. Having brought her son to Paris after her husband had killed a man in a drunken fit and had subsequently strangled himself in prison, Madame Goujet seems to be expiating a certain guilt Translation to come... ')">"par une honnêteté stricte, une douceur et un courage inaltérables" (III, pp. 600-81). On the surface her life with her son has the look of serenity; Gervaise often marvels at the "propreté" of their lodgings. Everything there is neat, tidy, in a simple and austere way, highly contrasted to practically all the other working class quarters in the Quartier Goutte d'or. The whole quartier marvels at the Goujets' frugality, the young man's sparkling, neatly mended clothes, their avoidance of "gros mots" and liquor, and their quiet, regular habits. There is, however, an unmistakable narrowness, dryness, and sterility about them: Goujet himself is a Translation to come... ')">"grand enfant" whose existence is imprisoned by his mother and who spends most of his free time gazing pathetically at pictures cut out of journals and hung on his walls. The pictures are for Goujet a substitute of reality and emphasize his passivity. Elements of the ineffectual and the helpless are further suggested in his relationship with Gervaise. A certain sterility is suggested by the failure of this would-be romance hero's efforts to save her from her worsening situation with Coupeau and Lantier and to get her out of Paris. The scene in which his weak, pathetic effort to persuade her to leave Paris with him takes place in an industrial wasteland amidst images of dead nature that reflect upon their own symbolic sterility and, more generally, that of the lower classes:
Translation to come... ')">ils filèrent à gauche, toujours silencieux, et s'engagèrent dans un terrain vague. C'était, entre une scierie mécanique et une manufacture de boutons, une bande de prairie resté verte, avec des plaques jaunes d'herbe grillée; une chèvre, attachée à un pique, tournait en bêlant; au fond, un arbre mort s'émiettait au grand soleil. (III, p. 797)
The Goujets, however, are quite a rarity in the working class districts of L'Assommoir , and even they are characterized by helplessness, isolation, and sterility. Instead Zola introduces us to a plebian world that is vicious and egoistic. Scenes like the one which occurs in the Translation to come... ')">"lavoir" in L'Assommoir are frequent in the Rougon-Macquart series and establish the more general, social characteristics of the lower classes. From scenes like this one, in which on her first work day Gervaise fights with the jeering Virginie, emerges a concentrated, view of the plebian milieu in its constant, barely suppressed cruelty and violence. Similar crowd scenes occur in Le Venite de Paris where the women in the fish market seem always on the verge of pouncing on Florent, the inspector, and in Germinal , where on his first day down in the mines Etienne is mocked by the more experienced miners. Even the supposedly inspired revolutionaries of La Fortune des Rougon surround Miette and scorn her for father's alleged crimes.
In the scene at the lavoir Gervaise has come to work to support herself and her two illegitimate children and encounters Virginie, whose sister has stolen Lantier away from her and who has come to the lavoir for seemingly no other reason than to taunt Gervaise. As if reveling in the misfortunes of another and eager to increase them, the other washerwomen encircle the two women and join in with Virginie in her taunts and jeers: Translation to come... ')">"'Va done! C'est las de rouler la province, ça n'avait pas douze ans que ça servait de paillasse à soldats, ça a laissé une jambe dans son pays...Elle est tombée de pourriture, sa jambe...' Un rire courut" (III, p. 617). This same readiness to believe only the worst about Gervaise, ironically one of the kindest and the most sympathetic characters of the novel, this cruel sarcasm directed at her limp, indicate the scarcity of "bonté de coeur," the generosity, the "sociabilité," the "amour" that the peuple are supposed, to possess. 14 Virginie becomes in this scene the choral voice of the plebian community expressing the general hardheartedness, cruelty, and. egoism that Zola must have felt actually characterized the peuple . The washerwomen thoroughly enjoy the fight and, as opposed, to the Translation to come... ')">"disposition naturelle à aider" which Michelet held to he typical of the peuple , seem almost by instinct more given to kicking those who are down, finishing off those who have fallen into misfortune. 15 As if instinctively out to get those who are genuinely good, kind, and generous, the quartier constantly thinks the worst of Gervaise: when Nana runs away, the entire quartier gossips that Gervaise has sold her daughter. And of course Gervaise's fall into utter abject misery is interpreted by the neighborhood as entirely deserved; none of that readiness to help the unfortunate appears here. The Lorilleux, her husband's relatives, refuse to help her in her worst need and throw her out:
Translation to come... ')">Bon voyage, du diable s'ils lui ouvraient encore 1 Ils avaient assez vu sa figure, ils ne voulaient pas chez eux de la misère des autres, quand cette misère était méritée. Et ils se laissèrent aller à une grosse jouissance d'égoïsme...Ils se trouvaient tous joliment vengés des anciennes manières de la Banban, de la boutique bleue, des gueuletons, et du reste... Au rancart les gourmandes, les paresseuses et les dévergondées. (III, p. 909)
While Michelet had held that it was the peuple who would invariably help the needy, particularly orphaned children, in even the hardest of times, in contrast, the world of Zola's working class is often singularly lacking in sympathy, compassion, generosity, or pity. Madame Putois and Virginie's discussion of abortion techniques in their rough, sarcastic tone illustrates this. As far as the latter is concerned, Translation to come... ')">"Toutes en décrochent" (III, p. 741), everybody gets rid of babies. Moreover, "père Bru" is a character who seems to appear in the novel for no other reason than to illustrate the appallingly unsympathetic and savage nature of the plebian community and the sympathy and generosity of Gervaise. After fifty years of hard work whitewashing buildings and after the loss of his son in the Crimea, a son who would have cared for him in his old age, Père Bru has nothing to live on, and no one will take him in.
Translation to come... ')">et le père Bru, ce pauvre vieux, qu'on laissait crever, parce qu'il ne pouvait plus tenir un outil, était comme un chien pour elle, une bête hors de service, dont les équarrisseurs ne voulaient meme pas acheter la peau ni la graisse. Elle en gardait un poids sur le coeur, de le savoir continuellement là, de l'autre côté du corridor, abandons de Dieu et des hommes, se nourrissant uniquement de lui-même... (III, pp. 853-4)
Michelet had seen family life among the peuple as a "poésie sainte" and as a humble, simple life that was morally and socially better than that of other social groups; for him, the plebian home was an island of neatness and sanctity; life there as marked by devotion, sacrifice, hardwork, sobriety, and abstinence. Though Le Peuple records his concern for the effects of corrupting city life and of "machinisme," he maintained that the Translation to come... ')">"fonds subsiste," that the peuple retained those characteristics found scarcely anywhere else in French society. Family life, in practically all its aspects, in L'Assommoir , however, is marked by disintegration and squalor. The Hôtel Boncoeur, that ugly frightening tenement whose name seems to echo ironically Michelet's concept of the peuple , is described early in the novel: it captures both the careless squalor of plebian house-keeping and the ugliness and violence of family life among the working class. In it is a panorama of all the drunkenness, cruelty, promiscuity, twisted perversity, and misery that Zola found characteristic of the peuple . Its description begins as Madame Lorilleux asks her brother Coupeau, who has come with Gervaise to ask her permission to marry, whether they had heard the downstairs couple fighting again:
Translation to come... ')">Ces Bérnard s'assommaient tous les jours; le mari rentrait soûl comme un cochon; la femme avait bien des torts, elle criait des choses dégoûtantes. Puis, on parla du dessinateur du premier, ce grand escogriffe de Baudequin, un poseur criblé de dettes, toujours fumant, toujours gueulant avec des camarades. L'atelier de cartonnage de M. Madinier n'allait plus que d'une patte; le patron avait encore congédié deux ouvrières la veille; ce serait pain bénit s'il faisait la culbute, car il mangeait tout, il laissait ses enfants le derrière nu. Madame Gaudron cardait drô1ement ses matelas: elle se trouvait encore enceinte, ce qui finissait par n'être guère propre, à son age...Quant à mademoiselle Clémence, la repasseuse, elle se conduisait comme elle l'entendait, mais on ne pouvait pas dire, elle adorait les animaux, elle possédait un coeur d'or. Hein! quel dommage, une belle fille pareille aller avec tous les hommes; On la recontrerait une nuit sur un trottoir, pour sûr. (III, p. 644)
Mixed into this passage is the nasty, backbiting, gossipy tone of the Lorilleux, a tone or attitude which is more generally characteristic of this working class neighborhood in general. 16 Again, the motif of gold, "or," echoes Michelet's metaphorical use of it: in Le Peuple , the lower classes are described as Translation to come... ')">"âmes d'or." L'Assommoir completely cancels out that original association. The domestic violence, the alcoholism, the promiscuity suggested in the passage reappear throughout L'Assommoir ; the name of the quartier , the "goutte d'or," or drop of gold, and the thin filaments of gold and the tiny chains of gold made by the Lorilleux, a name itself which contains the motif, suggest the severe paucity of that "bonté de coeur," those "âmes d'or" that Michelet had found in the people.
Perhaps there is no more shocking instance of the terrible failure of the family unit and the marital unit that Zola sees the working class subject to than that which occurs to Gervaise and Coupeau. As opposed to the sacred, haven of peace and the moral sense that Michelet found, in the working class family, L'Assommoir shows the various forms of domestic disintegration—adultery, abandonment, and violence—as pervasive in the peuple . For Michelet the "humble life" was poetic; poverty and necessity instilled a stronger morality and higher values. In L'Assommoir , however, hardship is only destructive. At first Gervaise appears as a vigorous hard worker at the lavoir, then later in the first four years of her married life, and of course "briefly as the propietress of her laundry. But as hardship mounts and becomes relentless, she finds it increasingly difficult to persist. After Coupeau's injury, his long recuperation, his fall into alcoholism, after Lantier's reappearance, his befriending and eventual corrupting of Coupeau, and ultimately his seduction or rape of Gervaise—at the end of this sequence of disasters, she finally gives in:
Translation to come... ')">Maintenant, Gervaise se moquait de tout. Elle avail un geste vague de la main pour envoyer coucher le monde. A chaque nouvel ennui, elle s'enfonçait dans le seui plaisir de faire ses trois repas par jour. La boutique aurait pu crouler; pourvu qu'elle ne fût pas dessous, elle s'en serait allée volontiers, sans une chemise... (III, pp. 818-20)
This is hardly the continuing heroism that Michelet found in the peuple , though understandable nonetheless. This surrender to adversity is made even more painful by the fact that the laundry was bought in the first place on a loan from the kindly Goujets. For Zola then, the more common response to "misère" is the Translation to come... ')">"paresse" and the Translation to come... ')">"malpropreté" that begin to mark Gervaise's life. Misère is not that hard school that trains one in virtue but simply a ceaseless daily pounding and battering that destroys even the best of intentions. Despite the filth, the odor, and the clutter that quickly creep into the laundry as well as their home, Translation to come... ')">"Gervaise se trouvait très bien là-dedans. Elle n'avait pas vu la boutique se salir; elle s'y abandonnait et s'habituait au papier déchiré, aux boiseries graisseuses, comme elle en arrivait à porter des jupes fendues et à ne plus se laver les oreilles. Même la saleté était un nid chaud où elle jouissait de s'accroupir" (III, p. 820).
Although Zola in the first and last novels of the Rougon-Macquart series describes the Rougon-Macquart family as simply representative of the peuple in all its phases in the Second Empire, it would be wrong to see the life and values of Coupeau and Gervaise as representative of the peuple in the same manner or in the same degree as Valjean was. Nonetheless, the same idea of plebian life as a test holds for L'Assommoir , although the range and the types of responses are quite different. First, that naive goodheartedness of a Gervaise is a liability in Zola's working class world as opposed to being a common characteristic in Michelet's: Translation to come... ')">"Son seul défaut, assurait-elle, était d'être très sensible, d'aimer tout le monde, de se passionner pour des gens qui lui faisaient ensuite mille misères" (III, p. 628). It is precisely the trusting, the kind, the generous, the open and naive in Gervaise that makes her vulnerable and that ultimately ruins her in the cruel world of the working class. Related to her vulnerability to a world dominated by "loups" is Gervaise's weakness which reappears with the return of Lantier: Translation to come... ')">"mais elle avait peur, s'il la touchait jamais de sa lâcheté ancienne, de cette mollesse et de cette complaisance auxquelles elle se laissait aller, pour faire plaisir au monde" (III, p. 800). Similarly, she seems able to accustom herself to practically any level of depravity; as she sees it, Translation to come... ')">"Chacun dans son trou, n'est-ce pas?" (III, p. 816).
Coupeau, on the other hand, succumbs to misfortune rather easily; after all, Gervaise's work as a laundry woman keeps the family alive, and his injury, apparently no more than a broken leg, must eventually heal. Those who do survive or withstand the diff culties of working class life do so in a curiously diminished state: the Goujets and the Lorilleux are two examples. The moral rigidity, the aloofness, the determination that have kept them both from Gervaise's fate has left them curiously dry and bitter. Thus, survival has its own costs too.
Toward the end of the novel, Gervaise looks back at the course of her life and reflects that she has failed to achieve her painfully humble ideal. Though she had been abandoned penniless with her two illegitimate children in Paris by her lover Lantier, she has managed to survive somehow by hard work as a laundress. Her marriage to the roofer Coupeau had prospered for a time, even to the extent that she had been able to get her own laundry business, until Coupeau injured himself in a fall from a roof, was cripped for months, and subsequently degenerated into alcoholism. With the return of Lantier, his exploitative friendship with Coupeau, his actual stay with Coupeau and Gervaise in their house, with their extravagant eating and drinking, the men's cruelty to Gervaise, the decline and loss the the laundry, her daughter Nana's escape from home and commencement of a life of sexual promiscuity bordering on prostitution, with Gervaise's own alcoholism and her prostitution forced on her by her husband and Lantier—Gervaise's life reaches astonishing depths.
Translation to come... ')">Elle se souvenait de son idéal, anciennement; travailler tranquille, manger toujours du pain, avoir un trou un peu propre pour donnir. bien élever ses envants, ne pas être battue, mourir dans son lit. Non, vrai, c'était comique, comme tout ça se réalsait! Elle ne travaillait plus, elle ne mangeait plus, elle dormait sur l'ordure, sa fille courait le guilledou, son mari lui flanquait des tatouilles; il ne lui restait qu'à crever sur le pavé, et ce serait tout de suite, si elle trouvait le courage de se flanquer par le fenêtre, en rentrant chez elle. (III, p. 928)
Gervaise's "ideal" of course echoes what Michelet had described as the peuple 's actual life. Valjean had called upon Montparnasse to take up this kind of existence extolling the virtues and the power of hard work; however, hard work in Zola's world holds nothing of the promise it does in Michelet's and, Hugo's thinking. Though we cannot look at Gervaise and her husband's story as truly typical and symbolic of the peuple as we can Jean Valjean's story, there are moments in L'Assommoir which suggest that their terrible decline is only atypical in its spectacular, disastrous, shocking excess. 17 One scene links Gervaise and Coupeau's story to the more general plight of the Parisian lower classes. In this scene, Gervaise waits among other women who have the same problem for Coupeau who has taken an odd job now that they have run out of money. She realizes she is not the only one whose husband drinks up all the money:
Translation to come... ')">Cependant, Gervaise aperçut quatre ou cinq femmes qui montait la garde comme elle, à la porte du maître zingueur; encore des malheureuses, bien sûr, des épouses quettant la paie, pour l'empêcher de s'envoler chez le marchand de vin...toutes, Gervaise comme ses camarades de faction, passaient et repassaient, en se jetant des coups d'oeil obliques, sans se parler... (III, p. 913)
L'Assommoir continually depicts a plebian world that is not marked by the austerity, devotion, and.sacrifice that Michelet had found in it. Poverty is not in the Quartier Goutte d'Or romantic or ennobling as it was for Marius.
Michelet also accredited the lower classes with a great patriotism and a devotion to the revolutionary ideal of republicanism. Patriotism, Michelet argued, was simply one of the ultimate expressions of that "amour" or that "sociabilité" that was so characteristic of the lower classes. Little of that national feeling appears in Les Rougon-Macquart , but more important is what becomes of republican revolutionary ideals. Such ideals had been held, Michelet wrote, like a religious faith by the peuple ; it was their true religion. Coupeau however has a decidedly different attitude:
Translation to come... ')">—Ah bien! vous êtes encore innocents de vous attraper pour la politique;...En voilà une blague, la politique! Est-ce que ça existe pour nous?...On peut bien mettre ce qu'on voudra, un roi, un empereur, rien du tout, ça ne m'empechera pas de gagner mes cinq francs, de manger et de dormir, pas vrai?...Non, c'est trop bête! (III, p. 666)
Such indifference to politics, the republic included (III, p. 682), is quite common in Zola's working class. 18 It extends as this passage shows to a general indifference for the nation. In its place is a mean and narrow egoism, which Michelet had located in the bourgeoisie and not the peuple .
Examples of such cruel and barbaric plebian characters can be multiplied in any survey of other novels in the series such as La Fortune des Rougons , La Terre , La Ventre de Paris , La Débâcle . Such behavior, however, is not limited or peculiar to the common people in Zola's world. The working-classes are no better or worse than any of the other classes in that world—a fact which in itself repudiates the romantic or partisan sociology. The few generous, sympathetic, good-hearted plebian characters that do exist in the working-class episodes of Les Rougon-Macquart are such because they are unique individuals and not because of any class membership. 19 Moreover, the few good souls that do exist in places like "le Quartier de la Goutte d'Or" of Zola's fiction often belong to that type called in this study the romantic populist. They assume that their own standard of altruistic, less egoistic behavior exists among the people when if so clearly does not.
Alienated Romantic Populists
Although it may seem contradictory to label Zola's revolutionaries, whom many critics have observed to be conspicuously similar, romantic populists at all, their careers and their characteristics are quite unlike those of Michelet's own life or of Hugo's revolutionaries. Nor are Zola's revolutionaries much like the Princess Casamassima or Hyacinth in James's novel or like Beramendi in Galdos's, as we shall see in the following chapters. However, labelling them "romantic populists" emphasizes what is unusual or outstanding about them, and thus as an ironic label serves a useful function.
The most important aspect of Zola's revolutionaries, or romantic populists as they will be called here, is that they are and often feel themselves to be alien to the people. They are different in physical and behavioral ways; they often dislike or even loathe the people even though they spring from them; and of course they have at best an uneasy relationship with the people, a group in Zola's novels which often expresss a general fear, suspicion, or malevolence on toward these idealistic individuals. 20
Unlike the type of romantic populist to be discussed in on the chapters on Henry James's The Princess Casamassima and Benito Pérez Galdós's La Revolución de Julio or already discussed in the chapters on Michelet and Hugo, these romantic populists do not have to journey forth to meet the people but actually begin among them; they grow up in and are native to the plebian milieu. For a variety of reasons, both hereditary and acquired, they are or become alien to their class. Thus, Zola's revolutionaries make their journey away from the people attempting to escape them.
However, their politics brings them back. Zola's romantic populists are like those of James and Gald6s in that they espouse that romantic revolutionism—at least in the earlier moments of their development before frustration drives them to more violent and radical extremes. 21 But these characters begin, like Florent, with a naive, sentimental idea of revolution full of a naive humanitarianism, a religiosity, and a dreamlike visionary quality that make it painfully impractical. No doubt, as a group they invoke the name of the people less, but they assume the same virtue and heroism of the people that Michelet seems to; thus they all generally seem profoundly ignorant of or reluctant to acknowledge the realities of human nature and imagine instead a perfect, utopian world as the result of the revolutions of which they dream. 22
Individuals such as Silvère in La Fortune des Rougon , Florent in Le Ventre de Paris to a certain extent Goujet in L'Assommoir , and above all, Etienne in Germinal —all come to possess a romantic revolutionary politics that is glaringly out of touch with human possibility. Elements of the populist romance appear in their thought as a result, of course, of the frustration of their lives, but, more importantly, as a result of the peculiarities of their characters in combination with a jumbled, fragmentary, half-comprehended study of romantic revolutionary ideas. Their generally self-directed radical educations combine with, or actually produce, a set of features that reappear with remarkable fullness in all four characters: a certain naive and often excessively fastidious personality; a tenuous or even distant relationship with the common people; accompanied by scorn, suspicion or hostility at times; a tendency to lose touch with practical social reality and to soar into visions of socialist or republican ideas of the golden age, spurred on by the intoxicating influence of that same confused, radical reading program. Such emphasis and reiteration is placed upon the jumbled, fragmentary, poorly understood radical reading of these and other plebian characters that it seems clear that Zola is satirizing in a rather melancholy way one of the most important items on the romantic populists' political agenda—popular education and popular literacy. In Zola, literacy in the working class world means access to the literature of romantic revolutionism and the populist romance; or else it means the kinds of sensational crime stories and pornography favored by Coupeau in L'Assommoir . As opposed, to the great hope Hugo invests in an educated lower class, as opposed, to the great practical benefits Hugo foresaw in an educated peuple —for example, those that derive from the self-educated and philosophic Valjean during his term as Monsieur Madeleine—literacy and self-education in Zola's working class most often mean impracticality and confusion. Of course such thinking and such politics is generally incomprehensible to the peuple as a whole and serves to alienate Florent or Etienne, for example, from those they wish to serve. However, it can also be heady and intoxicating in the hands of a gifted, inspired working class orator, as the example of Etienne in Germinal proves.
Popular education, the effort of the working class to educate itself, and plebian literacy in general, as mentioned before, are in large part responsible for the genesis of this character type. In the latter half of the 20th century, long since the idea of democracy has ceased to be the radical item that it was in the 19th century, it is easy to forget that the notion of an educated populace was certainly one crucial but not the only means by which the idea was advanced. There was the thoroughly romantic notion, found for example in the early Michelet, that an uneducated lower class, by the natural, intuitive wisdom it possesses, could rule better than the sophisticated, the "cultured," those out of touch with the heart. Romantic populists imagine in the people a mystic intelligence when it thinks collectively, when it functions as a sympathetic, intuitively connected, body in telepathic communication with itself. In such moments it is the chosen receiver of divine or transcendental knowledge as a whole. The exact process by which this transcendental guidance and wisdom is sent, received, and synthesized is of course mysterious; nonetheless, the vox populi , which is also the vox dei , is the culmination. Thus, entirely without education, without literacy, the people was considered fit to rule, even more fit to rule than its urbane, sophisticated social counterparts.
But as the fight for extended suffrage, for increasingly democratic institutions, continued though the century, individuals like Michelet and Hugo made impassioned pleas for some form of popular education, education that would be accessible to all Frenchmen. The idea was not to alter the peuple but to enhance its instinctive wisdom that it already possessed and, perhaps, prevent it from being misled by selfish rulers like Louis Napoléon.
In Les Rougon-Macquart Zola parodies the Romantics' great hope in popular education in several ways: first, the very notion of the easy or feasible education of the peuple ; second, the idealized results of such an education; third, the related idea, often lovingly described by Michelet, of the ability of the peuple to educate itself, on its own. Michelet was not in the least concerned about how much the working man could read and study; one or two books lovingly read and reread over a lifetime were just as valid as the wide range of the scholar. In Zola, on the other hand, again and. again we encounter working class figures whose weak intellects are beclouded by a jumble of fragmentary ideas randomly gathered from a motley assortment of odds and ends of literature. Literate plebian characters seem rather to suffer from their abilities: alienated from their own class by their literacy, they are unsually equipped with an impractical, inflated idealism that ultimately spells their disaster.
Silvère, who appears in La Fortune des Rougon , is the earliest representative of this pattern. The first description of him suggests an almost Platonic image of a soul trapped in a peculiarly plebian sort of clay:
Translation to come... ')">Par les attaches et les extrémités, par l'attitude alourdie des membres, il était peuple ; mais il y avait en lui, dans le redressement du cou et dans les lueures pensantes des yeux, comme une révolte sourde contre l'abrutissement du métier manuel qui commençait à le courber vers la terre. Ce devait être une nature intelligente noyée au fond de la pesanteur de sa race et de sa classe, un de ces esprits tendres et exquis logés en pleine chair, et qui souffrent de ne pouvoir sortir rayonnants de leur épaisse enveloppe. (II, p. 26)
A "Brave enfant," it is precisely his ignorance that generates his "enthousiasmes," a process which will occur again and again in Zola's romantic revolutionary in the working class. His naive, childlike intelligence would in Miehelet's world equip him for heroic leadership, but in Zola's it merely renders him more vulnerable. Like Goujet's, Etienne's and Florent's, Silvère's character is "grave," "mélancolique," "sérieux," "réfléchi," and capable of generous, heroic self-abandon, a set of characteristics which are rare in Zola's typically egoistic world.
Silvère's educational career, like those of most working class youth, has suffered from an abrupt termination at age twelve when he entered into apprenticeship; thus, Translation to come... ')">"les premiers éléments lui manquent toujours" (II, p. 131), but nonetheless he seeks Translation to come... ')">"l'instruction avec une sorte d'entêtement." Reading whatever falls into his hands, with whatever comprehension he can, Silvère's intellectual store is Translation to come... ')">"un étrange bagage; il avait des données sur une foule de choses, données incomplètes, mal digérées, qu'il ne réussit jamais à classer nettement dans sa tête." Out of his collection of Translation to come... ')">"bouqins dépareillées qu'il trouvait chez les brocanteurs du faubourg" (II, p. 169), he develops Translation to come... ')">"une généreuse et étrange religion sociale." He encloses himself in Translation to come... ')">"les utopies humanitaires que de grands esprits, affolés par la chimère du bonheur universel, ont revées de nos jours" and continually builds in his imagination Translation to come... ')">"des projets de société nouvelle" (II, pp. 169-170), which the next morning seem like so many "fantômes." It is precisely the intellectual confusion that produces these idealistic visions and moreover forces them into a religious framework.
Silvère's romantic revolutionism also seems to be partly what sets him apart or isolates him from his own class, prevents him from seeing its true nature, or taking it into account in his dreams of Translation to come... ')">"un gouvernement idéal d'entière justice et d'entière liberté" (II, pp. 132-33):
Translation to come... ')">La vie du jeune homme resta celle de l'enfant... Il éprouvait les répugnances de son père pour les cabarets et les flâneries du dimanche. Ses camarades blessaient ses délicatesses par leurs joies brutales.
Silvère is the first representative in the series of novels of this character type tyat, despite its vision of the revolutionary triumph of the peuple , is actually repelled by the actuality of the plebian behavior. No wonder then he loves Translation to come... ')">"les coins cachés, les solitudes où il pouvait à son aise vivre avec ses pensées" (II, p. 169). The romantic vision of the people of course implies a rather saintly behavior on the part of the people and sets into greater relief the true nature of the group which is a mixture of egoism, brutality, with little of the saint added in.
For Zola, religion appears to be a form of escaping the troubling realities of the world and of human nature. 23 Silvère approaches plebian revolution in a frankly religious manner: Translation to come... ')">"Dans le rêve cher aux malheureux du bonheur universelle, les mots de liberté, d'égalité, de fraternité, sonnaient à ses oreilles avec ce bruit sonore et sacré des cloches qui fait tomber les fidèles à genoux" (II, p. 132). As soon as the 1848 republic is proclaimed, it is to Silvère as if the whole world is going to live "dans une "béatitude celeste," "but his "naivetes profondes" and his "ignorance complete des hommes" prevent him from viewing the world in any other fashion than Translation to come... ')">"en plein rêve théorique, au milieu d'un Eden où régnait l'éternelle justice" (III, p. 133).
Such visions and such religiosity again and again in Zola's world are the results of a deficient literacy like Silvère's: Translation to come... ')">"ces miettes de science donnent une idée absolument fausse des hautes vérités, et rendent les pauvres d'esprit insupportables de carrure bête. Chez Silvère, les bribes de savoir vole ne firent qu'accroître les exaltations généreuses...il vécut dans une profonde et innocente religion des grandes pensées et des grands mots vers lesquels il se haussait, sans toujours les comprendre" (III, p. 131). Of course his is not the only outcome of the fragmentary knowledge; his sweet melancholy, generous, well-meaning, and seemingly harmless dream revolutionism is complemented by a more malicious variation: Silvère's uncle, Antoine Macquart, 24 whose notion of revolution is one of sumptuous loafing, typical of another set of plebian characters found in Les Rougon-Macquart who use their fragmentary knowledge to quite different effect:
Translation to come... ')">Les lambeaux d'idées communistes qu'il avait pris le matin dans les journaux devenaient grotesques et monstrueux en passant par sa bouche. Il parlait d'une époque prochaine où personne ne serait plus obligé de travailler. (II, p. 135)
Silvère is thus the first of a number of plebian characters who demonstrate a frightening naivete about the malicious, selfish nature of the common humanity about them and. who leap beyond, these impediments to an unreal sphere of idealism. These are characters who ignore the Translation to come... ')">"écrasement que les larges horizons indifférents font peser sur les tendresses humaines" (II, p. 35). While the Romantics extended horizons and brought the transcendental seemingly into closer proximity to our world, Zola draws those horizons back in, crushing mankind in a restricted world; he withdraws the prospect of the transcendental, symbolized particularly by the absence or the illusoriness of stars in his fictional world. Silvère is described, for example, as "un naïf, un naïf sublime," echoing the admiring language of Michelet's Le Peuple , a naïf Translation to come... ')">"resté sur le seuil du temple, à genoux devant des cierges qu'il prenait de loin pour des étoiles" (III, p. 131). It is a false star like the one seen by Gervaise. In Germinal similarly life down in the mines is a Translation to come... ')">"nuit sans astres" (V, p. 54), and life in Montsou in general is hemmed in by "cet horizon fermé" (V, p. 141). 25 Thus, Zola's revolutionaries all face a world with severe metaphysical limitations. There is no larger transcendant spirit with which they can commune, only their own illusions of such.
Florent in Le Ventre de Paris is like Silvère, Etienne, and Goujet noticeably different in appearance, intellect, and behavior from those around him in the market district of Paris where the novel takes place. His story in many ways foreshadowing Etienne's in Germinal , he is only temporarily accepted "by the working class community. Claude Lantier's term for Florent's type, Translation to come... ')">"les maigres," refers not only to the continual defeat, oppression, exploitation that his type is subject to but also to that type's rather fastidious behavior, which marks it apart from the greedy, gluttonous, egoistic behavior, of the Translation to come... ')">"gras." Florent is marked by that same repugnance for his plebian surroundings and the people who work there. Part of that loathing and part of his own incongruity in that milieu stem, once more, from his literate background as a teacher.
Florent's thinking also possesses that same tendency to escape a reality that he finds nauseating; his politics becomes imaginary, impractical, finally like a religion. Described early in the novel, he is the type that becomes a Translation to come... ')">"républicain...comme les filles désespérées entrent au convent" (II, pp. 603-4). What he seeks in his revolutionism is "d'oubli et de paix dont il sentait l'impérieux besoin." Rejecting the world almost instinctively as empty and as repulsive, he seeks a better one, one to be achieved he thinks in the revolutionary future; but revolutionary thought for Florent is pure escape, fantasy, a pleasurable vacation from the stench of the market place:
Translation to come... ')">Se bercer, s'endormir, rêver qu'il était parfaitment heureux, que le monde allait devenir, bâtir la cité républicaine où il aurait vouler vivre: telle fut sa récréation, l'oeuvre éternellement reprise de ses heures libres. (II, p. 604)
In a variation of the problem of fragmentary, jumbled, half-comprehended reading and education that plagues Silvère and Etienne, Florent though quite literate and intellectually capable, actually quits reading once this revolutionary dreaming takes hold of his mind. It is the same problem as is found in Silvère or Etienne; only it develops from the opposite direction.
At this stage of passivity and dreaming, Florent is much like another revolutionary in Zola's fiction, Sigismond in L'Argent . This "Marxist" revolutionary is described as vegetating Translation to come... ')">"de son côté, dans ses rêves tellement insoucieux de sa vie matérielle, qu'il serait sûrement mort de faim, si son frère ne l'avail recueilli" (VI, p. 361). His socialism too is Translation to come... ')">"une foi ardente," a religion "fixée." However he never attempts to leave his socialist's version of an ivory tower and go to the people: Translation to come... ')">"Il vivait plus haut, dans un songe souverain de justice," "dégagé de la vie matérielle" (VI, 362). He becomes a symbol, despite his relatively minor role in L'Argent , of the Zola revolutionary, Translation to come... ')">"modifiant, améliorant sans cesse sur le papier la société de demain, couvrant de chiffres d'immenses pages, basant sur la science l'échafaudage compliqué de l'universel bonheur" (VI, p. 362).
Midway through his own story however Florent is ready to leave the tranquility of his revolutionary dreams and attempt to impose them on reality: Translation to come... ')">"maintenant, quand il s'enfermait dans sa mansarde pour travailler, la douceur de la pièce l'impatientait, la recherche théorique de la liberté ne lui suffisait plus, il fallait qu'il descendît, qu'il allat se contenter dans les axiomes tranchants de Charvet et dans les emportements de Logre" (II, p. 687), two political conversationalists at the local tavern. But Florent merely trades one intoxicating, isolated, hallucinogenic milieu, his Translation to come... ')">"mansarde," for another, Lebigre's tavern:
Translation to come... ')">Les premiers soirs, ce tapage, ce flot de paroles l'avait gêné; il en sentait encore le vide, mais il éprouvait un besoin de s'étourdir, de se fouetter, d'être poussée à quelque résolution extrême qui calmât ses inquiétudes d'esprit. L'odeur du cabinet, cette odeur liquoreuse, chaude de la fumée du tabac, le grisait, lui donnait une béatitude particulière, un abandon de lui-même.
Florent is never successful at breaking through to social reality: at a comfortable distance, for example, with Translation to come... ')">"le quartier Mouffetard étalé à ses pieds," he is free to arrange Translation to come... ')">"des mesures morales, des pro jets de loi humanitaires, qui auraient changé cette ville souffrante en une ville de béatitude" (II, p. 603). There, he dreams of a revolutionary peuple which bears no relationship to reality.
Florent's revolutionism both during l8U8 and the Second Empire, the temporal setting of the novel, is marked heavily by a facile, sentimental religiosity characteristic of not just Michelet but the whole progeny of social romantics of that period in general. As opposed to those who call for bloody revenge for the deaths of revolutionaries in the February days, he calls instead for Translation to come... ')">"le rachat de ce sang 'par le baiser fraternel des républicains du monde entier'" (II, p. 604). He becomes one of those "orateurs illuminés" who preach revolution as "une religion nouvelle, toute de douceur et de rédemption." Such visions of "tendresse universelle" are quickly shattered when he is arrested; only briefly does he seem to awake from "son sermon sur la fraternité." Zola seems to place inside the novel some version of his own attitude toward Florent: Charvet, one of Florent's nightly political adversaries, finds him to be
Translation to come... ')">Un garçon... qui n'a pas deux idées en politique, qui aurait mieux fait d'entrer comme professeur d'écriture dans un pensionnat de demoiselles...il nous mettrait ses sacrés ouvriers sur les bras, avec ses rêvasseries sociales. Voyez-vous, c'est ça qui perd le parti. Il n'en faut plus, des pleurnicheurs, des poètes humanitaires, des gens qui s'embrassent à la moindre égratignure. (II, p. 771)
It is Charvet who redefines the peuple as entirely egoistic and who represents a new generation of revolutionary which, unlike those of the A.B.C. Club in Les Misérables , is unwilling to sacrifice himself to the peuple . Charvet has a remarkably negative opinion of the people and interjects a strongly authoritarian element into his politics:
Translation to come... ')">Pourquoi voulez-vous que je me batte pour l'ouvrier, si l'ouvrier refuse de se battre pour moi? ...Puis, la question n'est pas là. Il faut dix ans de dictature révolutionnaire, si l'on veut habiteur un pays comme la France à l'exercise de la liberté. (II, p. 690)
If Charvet betrays his own scorn for the peuple rather openly, Florent's repulsion manifests itself less directly, no doubt because his romantic populism prevents him from doing so. Bather, it appears in his nausea for the markets and his loathing of the behavior, particularly the culinary habits, of the people there. More importantly, his vision of the revolution is one that expects a wholsale moral change in the character of the working class and thus implies that he is profoundly disgusted by the peuple :
Translation to come... ')">Croyant avoir à venger sa maigreur contre cette ville engraissée, pendant que les défenseurs du droit crevaient de faim en exil, il se fit justicier, il rêva de se dresser, des Halles mêmes, pour écraser ce règne de mangeailles et de soûleries. (II, p. 744)
In other words, Florent rather unwittingly meditates a certain revenge against the peuple itself for its fat, smug complacency, its loss of its revolutionary élan , and its indifference toward its liberators like himself.
Unlike Etienne who enjoys a certain amount of success in arousing the peuple , Florent is a miserable failure in every respect. During a portion of the novel, the latter teaches a Translation to come... ')">"gamin," Muche, to read and write; it is a miniature enactment of the inevitable failure of the romantic populist's program for popular education. Though Muche enjoys his schooling, it never alters his egoistic character; at the end of the novel, when Florent is being hauled away by the police for his efforts to organize a revolution, Muche joyously partakes of the spectacle and jeers along with the other market people. While they last, the lessons also mean a chance for Muche to cook and eat new delicacies he has stolen from the market. Despite Florent's claim that Translation to come... ')">"les hommes seraient meilleurs s'ils savaient tous lire" (II, p. 670), it is clear that Muche remains the amoral, egoistic little ruffian he begins as. More importantly, Muche's writing lessons symbolize plebian literacy and its grasp of revolutionary ideas in general: for writing practice, Florent has Muche copy such words as "tyranniquement, liberticide, anticonstitutionnel, révolutionnaire," or such lines as Translation to come... ')">"Le jour de la justice viendra...La souffrance du juste est la condamnation du pervers...Quand l'heure sonnera, le coupable tombera" (II, p. 679). The mindless repetition, the black-and-white rhetoric, the fragmentary and jumbled nature of the material as well as the uncomprehending reception into the child mentalityall symbolize the pathetic limitations of plebian literacy and education.
Considering the fear of revolution and the destruction it would bring, the actual contentment and complacency of the people in this novel, and their general indifference toward pollicis, it is little wonder that the market people distrust Florent and ultimately turn on him. To Florent, as he is arrested, Translation to come... ')">"il lui semblait que tout le quartier était là qui jouissait" (II, p. 806); Translation to come... ')">"il se disait que les Halles étaient complices, que c'etait le quartier entier qui le livrait" (II, p. 805). In an image that contrasts vigorously with the symbolism of a mighty river in Les Misérables , 26 Florent views the common people around him, as he is being hauled, off to jail and most likely to execution, as a rising tide of mud: Translation to come... ')">"autour de lui, montait la boue de ces rues grasses."
Orphic Revolutionary Historicism
The visions of revolution possessed, by Zola's revolutionaries are also similar and can all be labelled, at least in their early stages, romantic. They expect from popular revolution a sudden, apocalyptic, sometimes almost bloodless change in the world and in the nature of man. Theirs is an optimistic, progressive sense of history, rather like that found in Hugo's' Les Misérables and Michelet's work. It assumes that utopia will be reached by popular revolution, by the force of the people. This familiar romantic revolutionary view is fiercely satirized, in Les Rougon-Macquart . Whatever vision of history Zola puts in its place, the peuple is no longer the chief driving force or agent.
Any discussion of the vision of history—its motor force, its destiny, and its optimistic or pessimistic characteristics—is bound by the setting of the series: the Second Empire. Though there was much to be optimistic about during the bustle of building in the period, Zola saw the twenty years of the Second Empire as one of great corruption in all areas of life. The dizzying prosperity of the early years of the Second Empire could only be followed inevitably by decay and disaster toward the end. 27 But for Zola in Les Rougon-Macquart the disasters and the destruction which occur at the end of the Empire are simply the phase of purification before a rebirth, the regeneration of French society, which might well bring forth a better world. This pattern of prosperity-corruption-destruction and purificiation-regeneration suggests the pattern of the Eternal Return, which is hardly a progressive vision of history. 28 This vision of history as unprogressively repeating itself is contradicted, however, by a certain sense of progress in spite of the disasters which surges forth at the end of Germinal , L'Argent , and La Terre , and La Débâcle : this optimism may simply be inspired by the rebirth phase of the total cycle. 29
An element that confuses the question is Zola's own well-known fascination with and confidence in science and technology as a progressive force in the modern world. 30 However, even this faith is implicitly questioned, in novels like L'Assommoir , Germinal , and La Bête humaine where new technology is seen dehumanizing man and society. At any rate, whatever the progressive force—if Zola believes in such—it is clearly not identified with the people or political struggle or popular revolution. 31 If these latter serve any good purpose at all, they function as the destructive agents which clear the way for the regeneration. The people and popular revolution are not in themselves, however, the regenerative agents. If there is a progressive sense of history in Zola's series, something that breaks out of the historical pattern of the Eternal Return, it is not because of the peuple . As noted earlier, as miserable and reprehensible as they are depicted in Les Rougon-Macquart , they are no worse than any other sphere of society. Thus, the progressive force of history seems no longer to be the revolutionary people but science and technology in Zola's fiction. At the same time, however, the optimistic or progressive sense of historical development can be seen as coming from no single group, development, or force in society at all but rather from a certain innate human obstinence, tenacity, persistence, a stubborn refusal to stay down for long—a spirit suggested, particularly at the conclusion of L'Argent . Again, this may he no progressive spirit at all hut simply the will to bounce hack and begin the cycle of the Eternal Return all over again. One other element confuses the question of progressivism in Zola's fiction: man in Zola's world may not he able to control his destiny in any larger social and historical sense; his world may he improving, despite all the disasters, without his ability to control, direct, or prevent either. 32 Such a progressivism, is clearly different from that of Hugo and Michelet which both embody an enormous confidence in man's ability to shape his own destiny.
Whatever the historical dynamic ultimately embodied in Les Rougon-Macquart , it is abundantly clear that the more romantic varieties of popular revolution are fiercely satirized through Zola's alienated, starry-eyed romantic populists discussed earlier. Etienne Lantier, as many have noted, is the most fully developed of all of Zola's revolutionaries in that, along with possessing all the other characteristics discussed earlier, he is the most politically active and successful. Also, he undergoes a certain pattern of development-one of increasing radicalism—the phases of which apply to most of the other romantic populists. More importantly Etienne receives a certain mythic development which symbolizes the nature of the Zola revolutionary, the nature of the peuple in Zola's fictional world, and the relationship between those two. And, of equal importance, this mythic dimension—dimly apparent in Florent and developed fully in Etienne—has much to suggest about the problem of the meaning and direction of history in Les Rougon-Macquart .
Like Florent, Silvère, and the others, Etienne is equipped with those features that set him apart from the plebian milieu, but in Etienne they are developed such that he becomes an Orpheus figure. 33 Though it is not as evident in L'Assommoir or Le Ventre de Paris, the central organizing or structuring principle and the natural expression of the plebian world of Zola has to do with the main aspects of the Orpheus story. Like the traditions concerning Prometheus, which Michelet found particularly expressive of his notion of the peuple , the Orpheus story is relevant to Zola's idea of the peuple in terms of a concept of history, the idea of the leader of the people, and the character of nature of the people.
The romantic populist found Prometheus to "be a useful, expressive figure in many ways: he represents martyrdom, innovation, and heroism on the behalf of mankind, as well as rebellion against unjust authority. As a symbol of the peuple , he too seems eternally on the bottom, struggling heroically upward toward the light, to throw off his chains. In keeping with Prometheus's reputation as a practical helper of mankind, as the one who introduces man to fire, he and the peuple are similar in the fact they provide material wealth and comfort to the rest of society and afford that Translation to come... ')">"chaleur," in Michelet's terms. Prometheus also embodies an appropriate sense of history: his struggle to arise from the depths is a progressive or linear one, which will at long last someday succeed.
Orpheus, on the other hand, completely alters some of the main concepts of the populist romance: Orpheus does not become the symbol of the people in the place of Prometheus; rather, he becomes the symbol of the alien revolutionary in the midst of the people; and the people become those whom the Orpheus missionary must convert to the revolutionary doctrine. In other words, the people resemble those Thracian barbarians Orpheus seeks to convert. Orpheus is often viewed as a kind of bringer of civilization, an outsider, a missionary, whose beautiful music and arts succeed for a while with the primitive half-savages he has come to help, but who is rejected and is ultimate- ly torn to pieces. His efforts to civilize are thus only partially successful, and when they fail, it is disastrous for him. 34 Into the Orpheus story also enters a cyclical element—the ritual killing of Orpheus linked, to the cycle of the seasons. Transposed into a view of the peuple , it implies a negative view of the lower classes as resistant to civilization; it implies a cyclical view of history as not progressing but as continually falling back and starting over.
Etienne Lantier, the Orpheus figure of Germinal , suffers from the same intellectual problems of Silvère and Florent though in a milder fashion. Although he controls his hereditary alcoholism throughout the novel, it is a symbol at the same time of the "ivresse" that marks his headlong, overly enthusiastic behavior and that marks his family in general. Like Florent, Etienne is simply different from bis plebian associates, educated, sensitive, delicate, somewhat feminine, and somewhat disgusted by the vulgar in the common people. 35
From the beginning Etienne is an outsider in more ways than one: Bonnemort finds him so different that he asks if he is from Belgium when in fact he is from the Midi—a remarkable misjudgment. Of course anyone from Belgium would be suspect, that country supplying the strike breakers to France's coal mining region. Two miners roughly object to the hiring of this Translation to come... ')">"inconnu" (V, p. 43) and are not prepared to accept him. Just as Florent is thought a Translation to come... ')">"'monsieur' sous la lamentable froque noire" (II, p. 577), one of the miners sneeringly calls Etienne Translation to come... ')">"Eh! l'aristo!" (V, p. 51). The miners are quick to sense not only Etienne's foreignness but his higher level of education or literacy. Etienne is that combination of the intellectual with delicate, rather feminine features, and that certain loathing of the vulgarity of his fellow workers: Chaval taunts him, Translation to come... ')">"espèce de couleuvre! ça n'a pas la force d'une fille!" as he mishandles a coal cart. In his behavior Etienne is distinct: it marks him as different that he does not seize Catherine when the sexual desire comes over him as other miners apparently do; he rejects "la Mouquette" despite his sexual deprivation and her desire for him; Catherine notices the unusual in him when she offers to share her coffee: Translation to come... ')">"Eh bien, je bois avant toi, puisque tu es si poli" (V, p. 56).
Etienne is delicate, almost feminine, as one would imagine the beautiful Orpheus to be, though he can do the heavy work in the mines: Translation to come... ')">"Sa petite taille lui permettait de se glisser partout, et ses bras avait beau être fins et "blancs comme ceux d'une femme, il paraissaient en fer sous la peau délicate" (V, p. 122). To the veteran miners Etienne is an educated, cultured man, almost an intellectual: Maheau Translation to come... ')">"sentait que ce garçon avait une instruction supérieure à la sienne: il le voyait lire, écrire, dessiner des bouts de plan, il l'entendait causer de choses dont, lui, ignorait jusqu'à l'existence" (V, p. 123). This opinion toward the middle of the novel when Etienne's campaign for the relief fund is under way, becomes widespread; he grows in the esteem of all the coal miners as a Translation to come... ')">"garçon instruit," "le nez toujours dans un livre": "Il était une sorte d'homme d'affaires, chargé des correspondances, consulté par les ménages sur les cas délicats" (V, p. 148). The miners, during the period of his tenuous popularity, look to him for help and guidance in many matters including those written.
Obviously not as limited, as Silvère or Goujet, Etienne falls prey to that same intellectual problem that the other working class characters face: he ranges through pile after pile of confused socialist and anarchist literature Translation to come... ')">"dont la lecture mal digérée acheva de l'exalter" (V, p. 143). This strange formula of Zola's—that combination of a somewhat unsteady or flighty imagination, a fragmentary and jumbled education, a certain aloofness or distance from the common people—seems in Zola's fictional world to provoke the kind of dreamy envisioning of Utopian futures which is found in Etienne:
Translation to come... ')">et, quand il sortait du cabaret de l'Avantage, où il continuait presque chaque jour à déblatérer avec eux contre la Compagnie, il marchait dans un rêve, il assistait à la régénération radicale des peuple s, sans que cela dût coûter une vitre cassée ni une goutte de sang. D'ailleurs, les moyens d'exécution demeuraient obscurs, il préférait croire que les choses iraient très bien, car sa tête se perdait, dès qu'il voulait formuler un programme de reconstruction. (V, p. 143)
Etienne's confused, cloudy revolutionary thought depends necessarily upon the romantic sociology of the peiiple. At the same time, Etienne feels that curious, contradictory repugnance in the presence of the peuple —a discrepancy which partially explains his flights into the imaginary and his inability to formulate practical revolutionary programs. Like Silvère, Etienne becomes drunk with visionary radical politics and approaches revolutionary ideology more as one devoted to a millenialistic religion.
Unlike Florent, however, Etienne's intellectual confusion does not prevent him from achieving a certain success among the common people; in fact, it may explain his peculiar success as an inspiring orator whose "rêves" quickly spread among the miners. His visions of a revolutionary return to a new golden age are like a sudden shaft of light to the Maheus, the family with whom he stays and upon whom he exercises his most inspirational charm:
Translation to come... ')">L'éternal recommencement de la misère, le travail de brute, ce destin de bétail qui donne sa laine et qu'on égorge, tout le malheur disparaissait, comme balayé par un grand coup de soleil; et, sous un éblouissement de féerie, la justice descendait du ciel. Puisque le bon Dieu était mort, la justice allait assurer le bonheur des hommes, en faisant régner l'egalité et la fraternité. Une société nouvelle poussait en un jour, ainsi que dans les songes, une ville immense, d'une splendour de mirage où chaque citoyen vivait de sa tâche et prenait sa part des joies communes. Le vieux monde pourri était tombé en poudre, ime humanité jeune, purgée de ses crimes, ne formait plus qu'un seul peuple de travailleurs, qui avail pour devise: à chacun suivant son mérite, et a chaque merite suivant ses oeuvres. Et, continuellment, ce rêve s'élargissait, s'embellissait. D'autant plus séducteur, qu'il montait plus haut dans l'impossible. (V, p. 146)
Parts of this vision echo Michelet and his generation of social romantics almost directly: the emphasis on justice, the notion of an entire world unified as one nation, the idea of revolution as a transformation of the world into an eternal spring which forever defeats human bondage to wintry misery and injustice, and of course the transcendental elements despite the death of god.
As Etienne "begins to experience the hardship and injustice of the miners' lives, as his mind begins to boil with that fragmentary jumble of socialist, anarchist, nihilist ideas fed him by Souvarine, Pluchart and others, he begins his efforts to rouse the miners. His first step toward organizing them into the Second International is to build support for a relief fund, "la caisse de prévoyance." On the Sunday in which Montsou's patron saint is celebrated, Etienne, beginning with the Maheus and building from there, goes from tavern to tavern gathering more and more support for the fund, something like a Pied Piper: Translation to come... ')">"Les autres se mirent à rire, hésitants, puis accompagnèrent le camarade, au milieu de la cohue croissante de la ducasse" (V, p. 134). His infectious politicking excites the miners to contribute; of course, the free flowing liquor of the festival day is in his favor and in fact symbolizes the character of his radicalism.
At home with the Maheu family, Etienne is particularly dazzling; he holds everyone spellbound with his vision of the revolution to come, "son rêve social." As a result of his ardent, lyrical talks, which are increasingly attended by neighboring families, for the Maheus, Translation to come... ')">"C'était, brusquement, l'horizon fermé qui éclatait, une trouée de lumière s'ouvrait dans la vie sombre de ces pauvres gens" (V, p. 146). At first they refuse to believe any of Etienne's ideas, but eventually they are brought under his charm: even upon Maheu's wife,
Translation to come... ')">Peu à peu, le charme agissait aussi sur elle. Elle finissait par sourire, l'imagination éveillée, entrant dans ce monde merveilleux de l'espoir. Il était si doux d'oublier pendant une heure la réalité triste! Lorsqu'on vit comme des bêtes, le nez à terre, il faut bien un coin de mensonge, où l'on s'amuse à se régaler des choses qu'on ne possédera jamais. Et ce qui la passionnait, ce qui la mettait d'accord avec le jeune homme, c'était l'idée de la justice. (V, p. 146)
The Maheus sit spellbound accepting the most miraculous and far-fetched of ideas, Translation to come... ')">"avec la foi aveugle des nouveaux croyants, pareils à des chrétiens des premiers temps de l'Eglise, qui attendaient la venue d'une société parfaite" (V, p. 147). People come from the village to listen to this Orphic revolutionary: Translation to come... ')">"L'influence d'Etienne s'élargissait, il révolutionnait peu à peu le coron. C'était une propagande sourde, d'autant plus sure, qu'il grandissait dans l'estime de tous" (V, p. 147). He is so successful that "il se grisa de ces premières jouissances de la popularité" (V, p. 148).
Etienne's ability to win the miners to his ideas, to inspire them with his voice to strike, and to infect them—intoxicate them, more appropriately—with his romantic, visionary revolutionism is made overtly analogous to the sweet, transforming musicianship of Orpheus. Of course there are obvious differences: the latter's music was so beautiful that it soothed wild beasts, moved rocks and mountains, stopped rivers and made trees dance. And it is true that quite often the coalminers in Germinal are described as Translation to come... ')">"bêtes" or as a Translation to come... ')">"troupeau," and unquestionably they are rough, brutal, seemingly less than uncivilized. Early in the novel, Pere Bonnemort is described as tree-like in his stolid inertia. But Etienne's revolutionism acts upon them like music but not a pacifying music, one rather that gives them a glimpse of an idea, the "rêve social," and energizes them to fight for it.
Orpheus's career is bound up with the spread of a religion, a curious mystic brand, of Dionysianism; indeed, Etienne, an outsider like any missionary, himself undergoes, as be indoctrinates himself in socialist thought, the Translation to come... ')">"ravissement des néophytes" (V, p. 143). Also, there is much of the mystic and the religious in his message as well as in those who are inspired by it. Orphic beliefs were otherworldly, and indeed Etienne's ideas quickly soar into the visionary: his talks awaken imaginations and conduct the wretched miners into a Translation to come... ')">"monde merveilleux de l'espoir;" it gives them the opportunity to forget their awful reality for awhile; Translation to come... ')">"il faut bien un coin de mensonge," as Maheu's wife thinks.
Orpheus also has the traditional reputation as a missionary of civilization, and in fact Etienne conceives of himself in certain respects in that light. Throughout the novel he experiences a certain Translation to come... ')">"tristesse" at the brutal, animalistic promiscuity of the mining people, particularly their youth: this sadness is composed of a certain desire for Catherine but more importantly of a genuine disgust at this people's behavior:
Translation to come... ')">il se trouvait blesse davantage par les promiscuites du coron. Est-ce qu'on etait des betes, pour etre ainsi parques, les uns contre les autres, au milieu des champs, si entasses qu'on ne pouvait change de chemise sans montrer son derriere aux voisins! (V, p. 143)
No doubt, mixed in his attitude toward the people is sympathy for the hardness of their lives as well, but the revolution he imagines, this "rêve social," will totally transform them: in his imagaination at least Translation to come... ')">"il marchait dans un rêve, il assistait à la régénération radicale des peuples" (V, p. 143). After Etienne has lost his popularity as a strike leader among the miners, he admits to himself this disgust that he feels toward those he has wanted to lead:
Translation to come... ')">C'était une sensation de superiorité qui Ie mettait à part des camarades, une exaltation de sa personne, à mesure qu'il s'instruisait. Jamais il n'avait tant réfléchi, il se demandait pourquoi son dégoût, le lendemain de la furieuse course au travers des fosses; et il n'osait se répondre, des souvenirs le répugnaient la bassesse des convoitises, la grossièrté des instincts, l'odeur de toute cette misère secouée au vent. Malgré le tourment des ténèbres, il en arrivait à redouter l'heure où il rentrerait au coron. Quelle nausée, ces misérables en tas, vivant au baquet commun! Pas un avec qui causer politique sérieusement, une existence de bétail, toujours le même air empestée d'oignon où l'on étouffait. (V, p. 296)
Of course Etienne does no real civilizing in any practical way, though his revolutionary visions imply a civilized and morally transformed peuple .
As if to reinforce the Orpheus story still further in Germinal , Zola stages his own greatly modified version of the Orpheus and Eurydice story when Etienne and Catherine are trapped in the mine after a cave-in. Related to this is the tradition that Orpheus was torn apart by the Thracian women because after the death of Eurydice he refused to have anything to do with women. While Etienne has little of Florent's Orpheus-like disdain for the feminine, he is rather fastidious in relation to women, as his avoidance of Mouquette shows. Moreover, Florent is destroyed by the marketwomen in Le Ventre when they all conspire to betray him to the police. At the same time there is the other explanation of Orpheus's death that he was killed because of the strange, foreign religion he imported. Whatever the case, it is clear that these communities turn on Etienne and Florent in a similar way and for similar reasons. In L'Assommoir these elements appear once more but in different combinations in separate characters: the dreamy romantic revolutionism in Goujet; the popularity among the working class folk in Lantier; the focus of community ill will and. suspicion upon Gervaise.
The carefully developed Orphic patterns in Germinal make us conscious that the same pattern reappears in practically all the plebian episodes of Les Rougon-Macquart . In various ways is played out again and again the pattern of the alien, mistrusted Orpheus who enters a working-class community and enjoys a brief tenuous moment of popularity and even influence before being cast out or even destroyed is played out again and again. The Orpheus figure becomes the civilization bringer, the missionary, the outsider, who brings a mystic, intoxicating new religion or ideology into the community; he is the intellectual alienated from the community, the goodhearted soul, the inspired orator, the dreamer of vague socialist utopias; the world into which he enters is that of the people—brutal, violent, desparate, barbaric, and resistant to change. Whereas the visions of an Orpheus—a Florent, a Silvère, or an Etienne—imply a progressive, forward-moving history, the cyclical and the seasonal ritual suggested in the Orpheus story itself as well as in the scenes in Germinal and its references to "l'éternal recommencement" indicates a workings class trapped in its own backward, savage limitations. 36
As a destructive force which would sweep away the corruption of the Second Empire, the peuple in Zola's fiction possess a certain value. 37 However, Zola himself had nothing hut condemnation for the communards in their more radical phase in the Paris of 1871. Viewing the people as a destructive, natural force in his novels, Zola could gain a gleeful satisfaction at imagining the popular contribution to Louis-Napoléon's long deserved downfall. That the cataclysm brought with it physical destruction made little difference since what was destroyed, was an expression of the same corrupt world. The destruction of civilization, no matter how corrupt, particularly the destruction of its great cultural achievements, hy the revolutionary people is viewed, however, quite differently in Henry James's The Princess Casamassima . In that novel a young man is faced with a choice between two competing allegiances: one, to the People and their de tructive, levelling revolution and two, to Civilization, which will conserve the value created over the centuries at the expense of the people.
1 F. W. J. Hennnings points out that the "proletarian proper is almost totally absent from Balzac's La Comédie humaine ," that George Sand's working class characters are but "charming fictions." ( Emile Zola , Oxford: Oxford Univ. Press, 1966, p. 112). Although the Goncourt brothers claimed to have done "the first study of the lower classes by masters of realism" (Hemmings, p. 112), Keating argues that their claims are not really justified and that Zola can fairly lay claim to his description of L'Assommoir as Translation to come... ')">"le premier roman sur le peuple , qui ne mente pas et qui ait l'odeur du peuple ." However "original" L'Assommoir may have been in this regard, Keating argues that it "became immediately, both in France and in England, the archetypal slum novel" and moreover the kind of novel best portraying the working classes. (Keating, pp. 128-29)
2 Henri Mitterand in his notes to the Pléiade edition of L'Assommoir discusses the characteristics of these more romantic or melodramatic novels of the lower classes and Zola's familiarity with them. (Emile Zola, Les Rougon-Macquart [Paris: Pléiade, 1966] Ed. Henri Mitterand, Vol. 2, pp. 1539-1541).
3 In a fine essay on Zola's revolutionaries, Aimé Guedj argues that the reason for the alienation of this type from the people has to do with the fact that they become politicians: Translation to come... ')">"Par un paradoxe apparent, il a cessé d'être des leurs en se mettant à leur tête. En effet le peuple n'a qu'une existence collective. Toute conscience populaire qui s'individualise, se détache du peuple et passe à la bourgeoisie." Unlike Hugo's idea of the heroic plebian leader, Zola's involves automatic alientation: Translation to come... ')">"Personne ne peut done parler, encore agir au nom du peuple ." (Aimé Guedj, "Les Révolutionnaires de Zola," Cahiers Naturalistes , 36 [1968], pp. 134-5).
4 In any discussion of the working classes in Zola's fiction it would be a mistake to treat L'Assommoir without Germinal or vice versa; in an 1889 letter Zola states that he could not fit politics in L'Assommoir and had decided to save it for another novel: Translation to come... ')">" Germinal est donc le complément de L'Assommoir , les deux faces de l'ouvrier." (H. H. Matthews, "Zola and the Marxists," Symposium , 12 [1957], pp. 267-68).
5 Hemmings records some of the attacks upon L'Assommoir , the fiercest of which came from "the political champions of the working classes": one reviewer saw it as Translation to come... ')">"un pamphlet ridicule dirigé contre les travailleurs et forgeant ainsi des armes pour la réaction" ; another concluded that Zola, a bourgeois Translation to come... ')">"dans le mauvais sens du mot," had in the novel expressed Translation to come... ')">"pour le peuple un mépris de bourgeois, double d'un mépris d'artiste faisant de l'art pour l'art, d'un mépris néronien." (Hemmings, Emile Zola , p. 123).
6 ... L'Assommoir is not a political novel, because there is no attempt to lay at anyone's door the blame for the degradation of the masses (Hemmings, Emile Zola , p. 85). Zola answered the criticisms of the novel by arguing that he had merely been analyzing the causes social evil—the best way to begin overcoming it: Translation to come... ')">"Je ne suis qu'un greffier qui me défends de conclure. Mats je laisse aux moralistes et aux législateurs le soin de réfléchir et de trouver les rémèdes." (From Zola's letter to the editor of Le Bien public , February 22, 1877 cited in Hemmings, Emile Zola , p. 123).
7 The Romantic Agony , Trans. Angus Davidson, 2nd Ed. (London: Oxford Univ. Press, 1970), p. 11.
8 Roger Ripoll, who has carefully traced the evolution of Zola's attitude toward Hugo in newspaper articles, points out that before l871 Zola had nothing but admiration for Hugo but that after that time Zola continually attacked him on political and artistic grounds as Translation to come... ')">"un représentant exemplaire du républicanisme romantique." Zola in an article in l877 describes how the peuple hisses those who speak the truth to them and how Translation to come... ')">"Il se pâme au contraire devant le poète qui le couvre de fleurs, qui lui promet la fin de ses maux, qui la met à la tête du monde, qui le berce d'une langue de théâtre, fleurie et rétentissante." (Roger Ripoll, "Zola juge Victor Hugo," Cahiers naturalistes , 46 [1972], pp. 186, 198-99).
9 All references are to Emile Zola, Oeuvres complètes [Paris: Cercle du Livre Précieux, 1967), ed. Henri Mitterand. The Roman numeral indicates the volume; the Arabic number indicates the page number.
10 The suffix of both words indicates the diminutive. "Miette" in English means "small bit or crumb," and "cosette" is deformation of the French "chose," or thing, with the diminutive "ette"—thus, "small thing."
11 To Roger Ripoll, the novel presents an image of the working class Translation to come... ')">"radicalement autre " and destroys Translation to come... ')">"le mythe généreux et rassurant du peuple , tel que pouvaient le concevoir Hugo et les politiciens de gauche." ("Zola juge Victor Hugo," pp. 201-202).
12 Philippe Bonnefis, who finds that the "bête" in man emphasized constantly by animal imagery in Les Rougon-Macquart will always prevent any real progress, describes the corruption that runs through all classes in Zola's portrait of the Second Empire:
Translation to come... ')">La société prend ainsi les apparences d'une ménagerie: à la tête du gouvernement un taureau qui mène le peuple comme un troupeau que l'on utilise avant de le conduire à l'abattoir; une bourgeoisie qui est une meute de chiens courants ou une horde de loups; des gens de finance avides et cruels comme des rapaces...Chaques emploi a son correspondant animal.
("Le bestiare d'Emile Zola," Europe , Nos. 468-69 [1968], p. 103-105).
13 David Place has found Goujet, the perfect worker, the moral ideal apparently achievable by all workers, totally inconsistent—a "latent conflict between moralism and sociological attitudes." Goujet in this view seems to represent the approach to social problems by pointing out "exemplary courses of individual behavior"; Goujet seems impervious to the pressures of his plebian milieu whereas the other characters in the novel are not. In fact one reviewer saw Zola as preaching to the worker through this particular character. ("Zola and the Working-Class: the meaning of L'Assommoir, " French Studies , 28 [1973], pp. 42-47). Sandy Petrey sees Goujet as Zola's own defense mechanism against socialist criticisms; Goujet illustrates that even the perfect worker in all his hard work and temperance will be poor and destitute. ("Goujet as God and Worker in L'Assommoir ," French Forum , 1 [1975], p. 240).
14 One can apply Robert Niess's summary of the general behavior of Zola's working women equally to Zola's working men: Translation to come... ')">"en meme temps elles ont toutes sortes de défauts: elles sont quelquefois avaricieuses, très souvent cancanières, méchantes, fières, moqueuses, cruelles, prêtes à toutes les infamies pour abattre la rivale, dures, brutales et violentes, grossières, déloyales." ("Emile Zola; la femme au travail," Cahiers naturalistes , 50 [1975], p. 57).
15 Robert Niess finds Zola's working class, in this case its women, to be Translation to come... ')">"denuées de conscience et d'orgeuil de classe" ; they possess no Translation to come... ')">"vrai sentiment de caste" and become united only in hatred of outsiders like Florent. (Niess, pp. 52-53).
16 Edwin Grobe also hears the "desperately misanthropic spirit of proletarian society" in the style indirect libre of L'Assommoir . ("Karrative Technique in L'Assommoir ," Esprit Createur, 11 [1970], P. 58).
17 Translation to come... ')">"Zola n'a pas voulu faire, avec l'Assommoir , un roman réaliste ...Il cherche l'excès, le summum de la violence. ...Plus done qu'un documentaire sur une fraction de la classe ouvrière, le roman offre la vision catastrophique de la condition ouvrière." (Colette Becker, Translation to come... ')">"La condition ouvrière dans l'Assommoir : un ineluctable enlisement, " Cahiers naturalistes , 52 [1978], p. 43).
18 Translation to come... ')">"Le peuple de l' Assommoir est un peuple sans memoire parce qu'il est un peuple sans passion politique. "[Jean Gaillard, "Réalités ouvrières et réalisme dans l' Assommoir ," Cahiers naturalistes , 52 [1978], p. 32).
19 Although what we conclude about Zola's attitude toward human nature has to be limited to the context of Les Rougon-Macquart , especially since that series presents mankind in a particularly bad light, Zola often alluded to the inextinguishable beast in man which no amount of technological advance would ever wipe out: beneath all the progress of civilization, he hoped to show in La Bête humaine Translation to come... ')">"le statu quo du sentiment, la sauvagerie qui est au fond de l'homme... Voilà l'hérédité de la bête. le mart qui se rue sur l'amant... le lointain homme primitif..." (From the ébauche for the same novel cited in Hemmings, Emile Zola , p. 241).
20 Other critics too have found this hatred of the people—of mankind—in these sentimental, humanitarian republicans like Florent and Etienne: Translation to come... ')">"l'inhumanité est en germe dans leur amour, qui d'emblée se trompe d'objet, est sans objet car il se nourrit de sa propre substance," a process which occurs with the idea of the peuple , another idea disconnected from reality. As for Florent, Translation to come... ')">"Abstrait, tourné vers l'homme idéal, il conduit fata ement à la haine des hommes réels." (Guedj, p. 133).
21 Guedj argues that Zola's revolutionaries undergo a typical developmental pattern and that each can be located somewhere on the continuum: Translation to come... ')">"on passe logiquement de l'humanitarisme républicain au socialisme et de là à l'anarchisme. C'est-à-dire de la révolution politique à la revolution sociale et, dans le désespoir qui suit l'échec, à la destruction pure"; Etienne Lantier thus provides "la loi du personnage la clé de tous ses avatars." (Guedj, p. 124).
22 Guedj for example also sees Zola's characters' revolutionism as Translation to come... ')">"une inquiétude metaphysique," as "la poursuite d'une chimère," and most importantly as "une évasion du monde, la manifestation d'un malaise existentiel." (Guedj, p. 127).
23 For David Baguley, this typical escapism and revery of Florent can be explained by a certain Translation to come... ')">"enveloppement, cette pénétration totale par les choses," which is so overwhelming in Le Ventre . Florent's revolutionism thus becomes Translation to come... ')">"une protestation contre cet empire de la matière indigeste, qui immobilise l'esprit," and the novel an example of the "Flaubertian theme" of Translation to come... ')">"l'envahissement de l'être par la matière." ("Le supplice de Florent," Europe , Nos. 468-69 [1968], pp. 95-96).
24 It should be pointed out, as does Roger Ripoll, that there are at least two types of revolutionaries in Zola's novels, Translation to come... ')">"le provacateur et l'idéaliste, Macquart et Silvère," in La Fortune des Rougon , and Logre and Florent in Le Ventre , although this study deals only with the latter. ("Zola et les Communards," Europe , Nos. 468-69 [1968], p. 19).
25 Auguste Dezalay describes what must be many readers' impression of Zola's fictional world: Translation to come... ')">"La lecture des Rougon-Macquart nous donne souvent l'impression de pénétrer dans un univers qui manque d'air et de lumière, où l'âme obscure d'eetres écrasés par leur mêtier, leurs tares et la société de leur temps se débat pour respirer malgré tout dans l'atmosphere lourde, étouffante et viciée d'un souterrain sans issue." ("Le theme du souterrain," Europe , 468-69 [1968], p. 110).
26 Les Misérables , I, p. 483.
27 One critic argues that no overall idea of history can be derived from Les Rougon-Macquart since it is contained within the narrative frame of the Second Empire and that "depending on the context, Zola emphasizes the ascending or the descending phase of the cycle of growth and. decay, revolution or repression, the eternal renewal of man's hope or the eternal renewal of his misery." (Naomi Shor, "Zola and la nouvelle critique ," Esprit Créateur 11 [1970], p. 19).
28 According to Roger Ripoll, Guy Robert was one of the first to call attention to the fact that Translation to come... ')">"l'avenir apparaît sous la double forme de la destruction et de la renaissance associées dans la vision d'une catastrophe purificatrice" in Germinal but also the whole of Les Rougon-Macquart . ("L'avenir dans Germinal : destruction et renaissance," Cahiers naturalistes , 50 [1975], p. 115).
29 William Berg, for example, finds that "a second network of images based on a botanical metaphor and stressing growth and progress" yields a more positive view of history in Zola's fiction and counterbalances the pessimistic effect of the animal imagery. ("A Note on Imagery as Ideology in Zola's Germinal ," Clio , 2 [1972] , pp. 44-45).
30 Philip Walker argues that opposed to all the radicals, reformers, visionaries, labor leaders, proletarians, and new bourgeoisie that inhabit Zola's fiction, the scientist and the engineer, "in Zola's mind, are the true revolutionaries, the true architects of the world of the future." ("Zola: Poet of an Age of Transition," Esprit créateur , 11 [1970], p. 8).
31 No doubt this is what has long upset some Marxist literary critics; as J.H. Matthews has argued Zola's whole outlook, "based on a confidence in the inevitability of universal progress through scientific advancement," is obviously at variance with the Marxist idea of social progress through class conflict and revolution. (Matthews, p. 262). As stated by Jacques Pelletier, Translation to come... ')">"Il croyait que la société nouvelle serait le fruit d'une lente évolution amenée par le progrès des sciences et le partage par tous des bienfaits de l'éducation." ("Lukács lecteur de Zola," Cahiers naturalistes , 41 [1971], p. 71).
32 One critic at least has found a profound helplessness in Zola's vision of man in Les Rougon-Macquart : there may well be progress in his world, but it is a movement that humans can do nothing about: conscious intervention by man in his own history is either futile or disastrous; Zola substitutes Translation to come... ')">"à une action politique contre le capitalisme une observation naturaliste de ses lois" and places his confidence Translation to come... ')">"dans le progrès de la science et dans une meilleure connaissance du 'circulus social,' identique, selon lui, au 'circulus vital'" (Guedj, p. 136).
33 Philip Walker argues that despite Zola's proclamations that myths, "rêve," and "fantômes" were outmoded and that science was now ascendant, despite his reputation as a "naturalist" novelist, Zola incorporated the mythic in his work continually. More steeped in Greek and Roman mythology than he cared to admit, Zola often carefully planned evocations of myth in novels which, for Walker, must be regarded, as important keys to the symbolism, the hidden metaphors, and "deeper meanings" of Zola's works. Zola's 1876 statement in a newspaper is particularly important here: Translation to come... ')">"Si l'on veut s'inspirer de l'Antiquité, si l'on veut retrouver la largeur des temps héroïques, il faut etudier et peindre le peuple ," he had already had the idea for an Adromache to be set in the lower classes. Walker uncovers a wealth of mythological parallels, allusions or models in Les Rougon-Macquart but makes no mention of Orpheus. ("Zola, Myth and the Rebirth of the World," Symposium , 25 [1970], pp. 209-212).
34 The importance of the various aspects of the Orpheus story to the Romantic poets has been studied voluminously in such works as Leon Cellier's "Le romantisme et le mythe d'Orphée, ( CAIEF , 10 [1958], pp. 138-57); Brian Juden's Traditions Orphiques et tendences mystiques dans le romantisme français (Paris: Klincksieck, 1971); Gwendolyn Bays' The Orphic Vision: Novalis to Nerval (Lincoln, Neb.: Univ. of Nebraska Press, 1964); and Hermine Riffaterre's L'Orphisme dans la poésie romantique; thèmes et style surnaturelistes (Paris: Nizet, 1970). Orphisme as described by these critics is quite similar to the mode of thought of Zola's revolutionaries: both are marked, by Translation to come... ')">"Inspiration fondée sur la pensée de l'infini, sur le sentiment, de l'invisible; obsession quasi physique du mythe sublimée souvent, sinon toujours, en inquiétude metaphysique; volonté anxieuse d'aller au-delà, de transcender les limites de la nature et de l'humain; recherche de l'absolu" (Riffaterre, p. 279). Orpheus to the Romantics represents Translation to come... ')">"une spécialisation du rôle du poète-guide de l'humanité: il devient un rôle de mystagogue, de guide des néophytes à travers les épreuves d'une initiation" (Riffaterre, p. 12). Cellier points out that Orpheus becomes in Ballanche's Orphee (1828) Translation to come... ')">"un héros plébéien.. .un partisan du progrès...le héros voyageur qui apporte aux hommes la civilisation," who has discovered how to civilize men Translation to come... ')">"[en]pla[çant] leur vie dans l'avenir, " just as Etienne does in Germinal (Cellier, pp. 139-140). Like Florent in Le Ventre , Hugo's "poète dans les révolutions," an Orphic figure himself, has the important Orphic role of "victime expiatoire." Juden points out that Saint-Simoniens and Fourierists took Orpheus as a "synonyme de civilisateur," and that Pierre Leroux, one of the "social Romantics," often used Orpheus as a figure similar to Moses, Jesus, and Saint-Simon himself—all martyrs, social prophets—who are all necessarily as "révélateurs" immolated by a distrustful peuple they have come to help (Juden, pp. 38-81).
35 Other critics too have noticed this physical and behavioral difference which sets Zola's revolutionaries apart from the working class from which they generally spring; all tend to be marked by Etienne's Translation to come... ')">"timidité avec les femmes, sa reserve, une certaine délicatesse de sentiments et surtout une sensibilité frémissante" (Guedj, p. 125).
36 It should be pointed out that Zola in his later, post Rougon-Macquart fiction returns to a romanticism and a certain visionary utopian, full of religiosity, the very thing he had rejected throughout most of his career. This surprising turn around, which he rather innocently claimed to be merely the culmination of his life's work and thought, is signaled by Travail (1901), described by Henri Mitterand as an "anti- Germinal " full of the "mythe de fraternité et de prosperité" he had so often satirized. In Travail , a novel in which "un mythe de rédemption et de résurrection succède aux mythes de saccage, de sang et mort," a peaceful strike ushers in a utopian era of communalist harmony and a character strangely resembling Monsieur Madeleine named Luc Froment sets about teaching the "évangile de réconciliation." (Henri Mitterand, "L'évangile social du Travail : un anti- Germinal ," Mosaic , 5 [1971], pp. 182-84).
37 Aime Guedj compares Zola's concept of the peuple to a natural force, blind and unconscious of itself but capable of scientific understanding; as a force in nature the peuple is like a flooding river, totally amoral, neither right nor wrong, but beneficial in the destruction it brings about: Translation to come... ')">"Un sang nouveau, une humanité régénérée, mais à quel prix? Quoi qu'il en soit, le seul personnage authentiquement révolutionnaire est le peuple; être collectif et indifférencié, nature à l'état brut qui remet en cause toute culture, force vive dont Zola attend, fasciné, moins le renversement d'une classe que la destruction de toute société: la Révolution est une apocalypse...." (Guedj, pp. 136-37).
L'incipit de L'Assommoir, Emile Zola, 1877 : un commentaire composé
Rédigé le 14 janvier 2021
10 minutes de lecture

- 01. Le texte
- 02. Méthode du commentaire composé
- 03. Commentaire composé de l'extrait

Gervaise avait attendu Lantier jusqu’à deux heures du matin. Puis, toute frissonnante d’être restée en camisole à l’air vif de la fenêtre, elle s’était assoupie, jetée en travers du lit, fiévreuse, les joues trempées de larmes. Depuis huit jours, au sortir du Veau à deux têtes , où ils mangeaient, il l’envoyait se coucher avec les enfants et ne reparaissait que tard dans la nuit, en racontant qu’il cherchait du travail. Ce soir-là, pendant qu’elle guettait son retour, elle croyait l’avoir vu entrer au bal du Grand-Balcon, dont les dix fenêtres flambantes éclairaient d’une nappe d’incendie la coulée noire des boulevards extérieurs ; et, derrière lui, elle avait aperçu la petite Adèle, une brunisseuse qui dînait à leur restaurant, marchant à cinq ou six pas, les mains ballantes, comme si elle venait de lui quitter le bras pour ne pas passer ensemble sous la clarté crue des globes de la porte. Quand Gervaise s’éveilla, vers cinq heures, raidie, les reins brisés, elle éclata en sanglots. Lantier n’était pas rentré. Pour la première fois, il découchait. Elle resta assise au bord du lit, sous le lambeau de perse déteinte qui tombait de la flèche attachée au plafond par une ficelle. Et, lentement, de ses yeux voilés de larmes, elle faisait le tour de la misérable chambre garnie, meublée d’une commode de noyer dont un tiroir manquait, de trois chaises de paille et d’une petite table graisseuse, sur laquelle traînait un pot à eau ébréché. On avait ajouté, pour les enfants, un lit de fer qui barrait la commode et emplissait les deux tiers de la pièce. La malle de Gervaise et de Lantier, grande ouverte dans un coin, montrait ses flancs vides, un vieux chapeau d’homme tout au fond, enfoui sous des chemises et des chaussettes sales ; tandis que, le long des murs, sur le dossier des meubles, pendaient un châle troué, un pantalon mangé par la boue, les dernières nippes dont les marchands d’habits ne voulaient pas. Au milieu de la cheminée, entre deux flambeaux de zinc dépareillés, il y avait un paquet de reconnaissances du Mont-de-Piété, d’un rose tendre. C’était la belle chambre de l’hôtel, la chambre du premier, qui donnait sur le boulevard. Cependant, couchés côte à côte sur le même oreiller, les deux enfants dormaient. Claude, qui avait huit ans, ses petites mains rejetées hors de la couverture, respirait d’une haleine lente, tandis qu’Étienne, âgé de quatre ans seulement, souriait, un bras passé au cou de son frère. Lorsque le regard noyé de leur mère s’arrêta sur eux, elle eut une nouvelle crise de sanglots, elle tamponna un mouchoir sur sa bouche, pour étouffer les légers cris qui lui échappaient. Et, pieds nus, sans songer à remettre ses savates tombées, elle retourna s’accouder à la fenêtre, elle reprit son attente de la nuit, interrogeant les trottoirs, au loin. L’hôtel se trouvait sur le boulevard de la Chapelle, à gauche de la barrière Poissonnière. C’était une masure de deux étages, peinte en rouge lie de vin jusqu’au second, avec des persiennes pourries par la pluie. Au-dessus d’une lanterne aux vitres étoilées, on parvenait à lire entre les deux fenêtres : Hôtel Boncœur, tenu par Marsoullier , en grandes lettres jaunes, dont la moisissure du plâtre avait emporté des morceaux. Gervaise, que la lanterne gênait, se haussait, son mouchoir sur les lèvres. Elle regardait à droite, du côté du boulevard de Rochechouart, où des groupes de bouchers, devant les abattoirs, stationnaient en tabliers sanglants ; et le vent frais apportait une puanteur par moments, une odeur fauve de bêtes massacrées. Elle regardait à gauche, enfilant un long ruban d’avenue, s’arrêtant, presque en face d’elle, à la masse blanche de l’hôpital de Lariboisière, alors en construction.
L'Assommoir , Emile Zola, 1877

Méthode du commentaire composé
On rappellera ici la méthode du commentaire composé vu en cours francais :
Ici, nous détaillerons par l'italique les différents moments du développement, mais ils ne sont normalement pas à signaler. De même, il ne doit normalement pas figurer de tableaux dans votre commentaire composé. Les listes à puces sont également à éviter, tout spécialement pour l'annonce du plan.
En outre, votre commentaire ne doit pas être aussi long que celui ici, qui a pour objectif d'être exhaustif. Vous n'aurez jamais le temps d'écrire autant !
Commentaire composé de l'extrait
Introduction.
L’Assommoir est un roman écrit par Emile Zola , écrivain naturaliste du XIXème siècle, et publié en 1877. Il constitue le septième tome de sa série Les Rougon-Macquart et, d’après les mots de l’écrivain dans la préface, c’est « le premier roman sur le peuple, qui ne mente pas et qui ait l'odeur du peuple. »
L’extrait que nous étudions correspond à l’incipit du roman , c’est-à-dire le tout début de l’histoire. En conséquence, le texte doit présenter au lecteur les enjeux de ce qui va suivre, en même temps que les personnages importants.
Annonce de la problématique
Dès lors, en quoi l’incipit de L’Assommoir renseigne-t-il le lecteur sur les caractéristiques de l’histoire à suivre ?
Annonce du plan
Nous verrons d’abord que, d’un point de vue narratif, sont directement présentés au lecteur les personnages importants ainsi que l’ambiance qui s’ensuivront. Il faudra ensuite relever les caractéristiques relatives au courant naturaliste, dont Zola est le chef de file : il s’agit de mener un écrit sociologique, presque scientifique, qui vient prouver une théorie soutenue par l’auteur. Enfin, nous analyserons les marqueurs symboliques présents dans cet incipit, qui annoncent déjà la suite de l’histoire.

La présentation des éléments clefs
Les personnages.
Le premier mot du roman est un prénom : « Gervaise » ; c’est celui de l’héroïne, celle qui sera au centre de l’histoire, au cours de laquelle le lecteur suivra son malheur de femme. Utiliser seulement le prénom, sans le nom, vise à la rendre plus familière et donc, plus touchante.
Le quatrième mot est le nom de famille « Lantier » dont on comprend qu’il désigne le nom du mari de Gervaise ; de la même manière, l’appeler seulement par un nom de famille contribue à le rendre proche du lecteur.
Ainsi, dès la première ligne sont nommés les deux personnages principaux , qui forment un couple et dont on perçoit déjà tout la difficulté à vivre ensemble. Il s’agit, typiquement, d’un incipit « in media res » : le lecteur se trouve d’emblée plongé dans une histoire qui a déjà commencé, comme le montre l’utilisation du plus-que-parfait (« avait attendu »).
La suite de l’incipit nous présente Gervaise comme une femme triste, abandonnée : elle attend son mari, qu’elle pense être en train de la tromper avec une autre femme, « la petite Adèle »).
Cette femme, du reste, est directement associée à sa position dans la famille : elle est une mère, puisque le premier paragraphe déjà fait référence à ses enfants.
Par ailleurs, ces mêmes enfants font l’objet d’une description touchante, alors qu’ils sont en train de dormir. L’écrivain nous renseigne sur leurs âges en même temps que leurs prénoms : « Claude qui avait huit ans » et « Etienne âgé de quatre ans. ».
Le cadre spatio-temporel
Zola multiplie en outre les noms de lieux pour donner à son récit une valeur réaliste et une dimension sociologique. Comme il l’écrit dans sa préface, il veut traiter du sujet ouvrier .
Ainsi, Gervaise et sa famille habite dans un endroit précis de Paris. On trouve, comme références, « la barrière Poissonière » et « le boulevard Rochechouard » : ils sont aux frontières de la capitale, c’est-à-dire les faubourgs ouvriers de l’époque.
Car nous savons en outre que nous sommes à la veille du Second Empire , comme l’indique le fait que l’hôpital de Lariboisière soit « alors en construction ». Il s’agit d’un lieu qui existe bel et bien et véhicule une impression réaliste.
Leur situation
Ainsi, ces personnages ne sont pas hors sol : ils sont présentés dans leur appartenance à un certain milieu social . En l’occurrence, le mot « brunisseuse », qui désigne une ouvrière polissant le métal , montre que nous avons affaire à des ouvriers. On pourrait également relever le champ lexical de l’habit (« en camisole », « ses savates tombées »), qui renseigne sur leur niveau de richesse.
Tous dorment dans la même chambre, comme le montre la phrase suivante : « On avait ajouté, pour les enfants, un lit de fer qui barrait la commode et emplissait les deux tiers de la pièce. » Cela témoigne de leur pauvreté. A cette carence matérielle s’ajoute la tristesse de Gervaise , qui s’explique par l’adultère dont elle se suppose la victime.
La focalisation se concentre sur elle – le lecteur aperçoit les enfants parce que c’est la mère qui d’abord pose son regard sur eux. Elle les regarde parce qu’elle se trouve dans l’attente, impuissante : « pendant qu’elle attendait son retour », « Lantier n’était pas rentré. » Et cette douleur est l’objet d’une souffrance pour elle ; ainsi, le champ lexical de la douleur jalonne l’extrait : « sanglots », « larmes », « noyé », etc.


Un incipit naturaliste
La naturalisme, dont Zola est un des principaux représentants, se situe dans la continuité du réalisme : l’auteur se propose de mener son récit en lui octroyant un aspect réaliste à partir de descriptions précises et de lieux réels , tout en montrant l’influence de ce milieu sur les gens.
De fait, nous avons ici affaire à un exemple typique.
Un intérieur miséreux
Si le roman commence avec une focalisation externe, nous passons bien vite à une focalisation interne : le lecteur découvre la chambre, les enfants, à travers le regard de Gervaise. Le narrateur s’efface et c’est Gervaise qui devient maîtresse du rythme et des informations. On peut ainsi relever le champ lexical de la vue : « guettait », « vu », « regarder », « yeux », etc.
L’intérieur de la chambre donne une impression misérable – et c’est ce caractère misérable qui touche le lecteur, pour l’influence que cela semble avoir sur la personne de Gervaise. Son âme est aussi triste que cette chambre.
Ainsi, nous avons :
- La dégradation : « dont un tiroir manquait, « un pot ébréché », « les deux flambeaux dépareillés », « un vieux chapeau d’homme », où tout fait penser au manque et à la misère
- La saleté : « petite table graisseuse », « chemise et chaussettes sales », « pantalon mangé par la boue », qui est une marque de la pauvreté
- Le manque d’argent : « les flancs vides de la malle » ou « sur le même oreiller » renvoie l’idée d’économie nécessaire pour une famille qui ne gagne pas assez
- Le désordre, avec « vêtements qui pendaient », « enfoui sous des chemises et des chaussettes », ou encore « un lit qui barrait la commode » ; cette chambre paraît ainsi inadaptée à une famille de quatre personnes.
Il y a ainsi un parallèle évident à établir entre l’état d’esprit de Gervaise et l’état de la chambre , qui se trouvent dans le même délabrement, le même abandon.
Il y a néanmoins un passage empli d’espoir innocent , c’est celui de la description des enfants : il y a à la fois de la fraternité (« côte à côte ») et de la tendresse (« un bras passé au cou de son frère »). Mais c’est précisément cette tranquillité qui est en danger , car les enfants sont fragiles, potentielles victimes de ce milieu inhospitalier (« ses petites mains », « de quatre ans seulement »).
Un extérieur rempli de dangers
Fidèle à la veine naturaliste, Zola tente déjà de montrer comment le milieu dans lequel se trouvent Gervaise et ses enfants peut les influencer négativement.
C’est toujours le regard de Gervaise qui conduit la description : « elle retourna s'accouder à la fenêtre, elle reprit son attente de la nuit » ; c’est à ce moment-là que l’on découvre l’aspect de l’hôtel, avec une suspension de la focalisation interne , puisque tout se déroule comme si l’on se trouvait en face de la façade (alors que Gervaise est à la fenêtre).
L’immeuble est une « masure », terme péjoratif qui vient confirmer l’ aspect misérable de l’intérieur de la chambre. On trouve également les termes négatifs « pourries », « moisissure », « lie vin » pour qualifier différents endroits de l’hôtel, qui assombrissent encore le tableau.
Bientôt, on repasse à la focalisation interne , avec de nouveau le regard de Gervaise qui guide la description offerte au lecteur (à partir de la phrase « Gervaise, que la lanterne gênait, se haussait, son mouchoir sur les lèvres. »). La référence aux « bouchers » engage sur la suite de l’histoire : c’est la représentation symbolique de la misère et de la violence , auxquelles se trouve soumis le monde ouvrier.

Les symboles annonciateurs
L’enfer sur terre.
La coloration de la scène en appelle à la mythologie de l’Enfer . On trouve ainsi deux métaphores très puissantes, avec : « les dix fenêtres flambantes » ou « une nappe d’incendie ». De même, les termes relatifs au magma, avec « coulée » et « nappe », rendent le sentiment de Gervaise lorsqu’elle regarde par sa fenêtre.
Dans cette même veine s’opposent les couleurs rouge (qui figure le sang et le feu), avec « incendie », « rouge », « sanglants » et noir (qui renvoie à l’obscurité des souterrains), avec « noire » et « nuit ». Gervaise vit dans un espace clôt qui la place déjà dans le royaume de la mort : c’est Zola qui véhicule là son idée de l’existence ouvrière au XVIIIème siècle.
La menace de l’extérieur
Car on perçoit dès cet incipit combien l’extérieur menace l’existence de Gervaise : elle est cloîtrée dans une chambre inamicale (« la malle qui montrait ses flancs vides », « le lit qui barrait la commode »), tandis que l’extérieur annonce de partout la mort , avec le « lie de vin » qui renvoie aux dangers de l’alcool , cause de « la bête humaine ».
L’odeur participe du même effroi . On trouve ainsi l’expression « odeur fauve de bête massacrée » qui indique le caractère sauvage du monde pour la pauvre ouvrière, à la merci de la férocité de la société. On trouve encore la menace dans le sens auditif : « des cris d’assassinées ».
Il y a enfin un parallélisme entre le monde ouvrier et le monde animal (déjà présent dans le titre avec le substantif « la bête »). Les ouvriers sont pareils à un troupeau, dont Gervaise fait partie.
Dans l’incipit de La bête humaine , Zola s’efface au profit du regard de son personnage principal : on découvre un monde surplombée par la mort, où l’ouvrier évolue au milieu de la misère et de la crasse.
Voilà donc un roman sur le peuple qui s’annonce de lui-même : le cadre urbain est réel et fait écho à la réalité du monde ouvrier de son siècle.
Les symboles jalonnent ainsi les premiers mots , les premières phrases : il y a le sang, l’alcool, la mort. On pourra conduire une analyse comparative entre cet incipit et le passage du chapitre 12 où Gervaise est amenée à se prostituer, dans l’hôtel Boncoeur, dont la description extérieure est déjà menée ici.
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Ancien étudiant de classe préparatoire b/l (que je recommande à tous les élèves avides de savoir, qui nous lisent ici) et passionné par la littérature, me voilà maintenant auto-entrepreneur pour mêler des activités professionnelles concrètes au sein du monde de l'entreprise, et étudiant en Master de Littératures Comparées pour garder les pieds dans le rêve des mots.
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Bonjour, Allez voir notre fiche méthode sur le sujet : https://www.superprof.fr/ressources/langues/francais/college-fr2/3eme-fr2/commenter-un-recit-astuces.html Bonne journée,
Bonsoir, pourriez vous m’aidé svp, j’ai besoin d’un commentaire composé sur le roman assommoir. Merci bcp

Bonjour ! Je vous invite à consulter notre méthode qui vous donnera toutes les clés pour réussir votre commentaire ! https://www.superprof.fr/ressources/langues/francais/lycee-fr3/terminale-fr3/methodologie-astuce-dialectique.html
Bonne journée
S’il de plait pouvais vous me rediger un commentaire de l’assomoir d’emile zola et pouvez boys m’envoyer demain
Commentaire composé des sept chapitres du roman la curée d’Emile Zola.merci infiniment
Merci infiniment pour ce commentaire il m’a permis non seulement de mieux comprendre, mais de vivre ce roman…

Bonjour Hafida,
Nous y travaillons, cet article arrivera prochainement !
Oral du bac de français
Ecrit du bac de français, pour aller plus loin.

L'Assommoir - Incipit
01 86 76 13 95
(Appel gratuit)
Cours : Un roman naturaliste : L'Assommoir de Zola
Un roman naturaliste : L'Assommoir de Zola
Introduction :
Dans la seconde moitié du XIX e siècle, un nouveau style romanesque apparaît. Après le courant littéraire du réalisme porté par Balzac , le naturalisme prolonge le mouvement.
Poussant plus loin les principes du réalisme, qui consiste à représenter le réel tel qu’il est et à privilégier les histoires vraies, les auteurs naturalistes proposent de montrer la société et l’humain dans sa réalité crue. Sans filtre, les naturalistes donnent même une dimension scientifique à leurs écrits. Le mouvement s’étend également au théâtre et à la peinture, avec des peintres tels que Daumier ou Courbet.
Dans un premier temps, nous allons nous intéresser aux caractéristiques du roman naturaliste. Puis, nous étudierons un exemple de roman naturaliste : L’Assommoir de Zola .
Le roman naturaliste
Naissance et principes du naturalisme.
Le courant naturaliste est né des frères Goncourt en 1860. En 1865, dans leur roman Germinie Lacerteux , les frères Goncourt s’appuient sur un cas réel d’hystérie.
Hystérie :
Il s’agit d’une maladie psychologique qui se manifeste par des crises lors desquelles le patient ne maîtrise plus ses émotions. Cela peut entraîner une perte de la vue, une paralysie ou des malaises.
La dimension scientifique est alors assumée et mise en avant. Voici ce que les frères Goncourt disent de leur vision du roman dans la préface de Germinie Lacerteux :
« Aujourd’hui que le roman s’est imposé les études et les devoirs de la science, il peut en revendiquer les libertés et les franchises. »
Dans sa maison à Médan, Zola réunit régulièrement ses amis écrivains tels que Maupassant et Huysmans . Un recueil de nouvelles naturalistes voit le jour en 1880 à la suite de ces réunions : Les Soirées de Médan . L’œuvre inspirera d’autres auteurs par la suite, comme Alphonse Daudet .
Mais c’est dans son Roman expérimental , publié en 1880, que Zola théorise le premier le courant naturaliste.
Il s’inspire de la méthode du biologiste Claude Bernard. Zola estime que le romancier doit, tout comme le scientifique, observer les faits puis les expérimenter. L’auteur applique sa théorie dans son œuvre gigantesque, Les Rougon-Macquart, histoire naturelle et sociale d’une famille sous le second Empire , ensemble de vingt romans écrits entre 1871 et 1893.
Pour Zola, il n’est pas question de juger ses personnages mais de les montrer tels qu’ils sont dans leur milieu.
Il est en quête de vérité et cherche à la décrire avec le plus d’exactitude possible. Face aux critiques des bourgeois conservateurs qui attaquent son œuvre L’Assommoir et la jugent trop choquante, Zola répond ceci :
« C’est une œuvre de vérité, le premier roman sur le peuple, qui ne mente pas et qui ait l’odeur du peuple. Et il ne faut point conclure que le peuple tout entier est mauvais, car mes personnages ne sont pas mauvais, ils ne sont qu’ignorants et gâtés par le milieu de rude besogne et de misère où ils vivent. »
Les thèmes du naturalisme
Le roman est donc un laboratoire pour l’auteur naturaliste.
Il examine l’influence des lois de l’hérédité sur ses personnages.
Hérédité :
Ensemble des caractéristiques (physiques ou morales) qu’un parent transmet à ses enfants, à ses descendants.
Par exemple, l’atavisme qui ronge la famille des Rougon-Macquart est l’ alcoolisme.
Atavisme :
C’est une hérédité dans laquelle le sujet manifeste des traits de caractère présents depuis plusieurs générations, en l’occurrence l’alcoolisme.
Cette fêlure se transmet de génération en génération, ruinant tous les efforts des personnages pour réussir leur vie. L’écrivain met également en exergue l’ influence du milieu , notamment le milieu ouvrier comme dans L’Assommoir de Zola.
- L’auteur naturaliste montre par le biais de ses romans les défauts de la société.
Certaines œuvres font scandale lors de leur publication. C’est le cas notamment de Boule de Suif , une nouvelle écrite par Maupassant, qui dénonce les humiliations que peuvent subir les prostituées.
Révolution industrielle :
Au XIX e siècle, la révolution industrielle bouleverse plusieurs pays. La société jusqu’alors majoritairement agricole et artisanale bascule dans une ère industrielle et commerciale.
Les écrivains naturalistes sont marqués par cette période historique. Ils mettent en évidence les bouleversements dus à la révolution industrielle . La société a en effet subi de profonds changements comme l’essor des chemins de fer, les travaux d’Haussmann dans Paris et le passage à l’ère industrielle.
Par ailleurs, les écrivains naturalistes font preuve d’une vision pessimiste de l’Homme et de la société. Ils décrivent souvent des personnages luttant pour leur vie face à la maladie ou à la mort. On peut prendre l’exemple des mineurs de Germinal de Zola qui luttent pour améliorer leurs conditions de travail et de vie, ou encore de l’héroïne de Une Vie de Maupassant. En effet, cette dernière fait face à de nombreux deuils, au dénuement, mais aussi à la maladie de son fils.
Un exemple de roman naturaliste : L’Assommoir de Zola
Dans L’Assommoir , Zola décrit le milieu ouvrier marqué par la misère et l’alcool.
Assommoir :
Au XIX e siècle, l’assommoir est le nom que l’on donne au lieu où l’on distille et où l’on boit l’alcool.
L’extrait ci-dessous se situe au début du roman. Coupeau et Gervaise décident d’aller voir de plus près un alambic.
Alambic :
Appareil qui sert à distiller l’alcool.
Les deux personnages ont su éviter leur hérédité . Cependant, on peut constater que Gervaise ne peut s’empêcher d’être fascinée par l’alambic. Cette machine est au cœur du passage :
« L’alambic, avec ses récipients de forme étrange, ses enroulements sans fin de tuyaux, gardait une mine sombre ; pas une fumée ne s’échappait ; à peine entendait-on un souffle intérieur, un ronflement souterrain ; c’était comme une besogne de nuit faite en plein jour, par un travailleur morne, puissant et muet. Cependant, Mes-Bottes, accompagné de ses deux camarades, était venu s’accouder sur la barrière, en attendant qu’un coin du comptoir fût libre. Il avait un rire de poulie mal graissée, hochant la tête, les yeux attendris, fixés sur la machine à soûler. Tonnerre de Dieu ! elle était bien gentille ! Il y avait, dans ce gros bedon de cuivre, de quoi se tenir le gosier au frais pendant huit jours. […] Dame ! il ne se serait plus dérangé, ça aurait joliment remplacé les dés à coudre de ce roussin de père Colombe ! […] L’alambic, sourdement, sans une flamme, sans une gaieté dans les reflets éteints de ses cuivres, continuait, laissait couler sa sueur d’alcool, pareil à une source lente et entêtée, qui à la longue devait envahir la salle, se répandre sur les boulevards extérieurs, inonder le trou immense de Paris. Alors, Gervaise, prise d’un frisson, recula ; et elle tâchait de sourire, en murmurant :
- C’est bête, ça me fait froid, cette machine. La boisson me fait froid. »
La description de l’alambic se fait à travers le regard de Coupeau et Gervaise. Coupeau explique à Gervaise le fonctionnement de l’appareil. La machine est qualifiée par des expressions qui la personnifient, c’est-à-dire que Zola attribue des caractéristiques humaines à l’alambic qui est un objet.
On peut relever par exemple « [L’alambic] gardait une mine sombre » , le narrateur évoque également « un souffle intérieur » . L’alambic est également qualifié de « travailleur morne, puissant et muet » , ce qui lui donne un côté inquiétant. La machine dégage une atmosphère menaçante.
En revanche, le point de vue de Mes-Bottes sur l’alambic est positif . Il pose des « yeux attendris » sur l’engin et évoque son « gros bedon de cuivre » . Le point de vue de Mes-Bottes est retranscrit par un discours indirect libre.
Discours indirect libre :
Ce discours rapporté se caractérise par l’absence de verbe introducteur ou de guillemets, il passe inaperçu en somme. Il permet de retranscrire les pensées ou paroles d’un personnage et de conserver la fluidité de la narration.
Cela permet de conserver l’oralité de Mes-Bottes avec des termes argotiques comme lorsqu’il parle du « bedon » ou des expressions telles que « tonnerre de Dieu ! » et « Dame ! » . Cela donne un aspect authentique et réaliste . Mes-Bottes est un personnage qui représente le peuple. Il a une vision optimiste de l’alambic. Mais c’est une vision euphorique , un sentiment de bien-être absolu, une grande joie, car il est déjà sous l’emprise de l’alcool.
À l’exaltation de Mes-Bottes s’ensuit le regard inquiet de Gervaise, traduit par le narrateur à la fin de l’extrait. L’alambic est comparé à une « source lente et entêtée » . L’adverbe « sourdement » fait écho au « ronflement souterrain » . Cela dénote le caractère insidieux de l’alcoolisme, qu’on ne voit pas venir. Il est « souterrain » , et donc caché.
Gervaise semble pressentir sa déchéance finale.
En effet, le narrateur dit : « elle tâchait de sourire » , mais elle a un mouvement de recul et frissonne. Il s’agit ici d’un éclair de lucidité de la part de Gervaise.
- Le discours indirect libre des personnages permet de refléter la vérité.
On peut repérer le discours indirect libre grâce au changement de registre de langue . Par exemple, d’un registre soutenu pour la narration, on passe subitement à un registre familier . On peut observer également l’emploi du conditionnel ou encore des phrases exclamatives.
En alternance avec le discours rapporté, Zola revient à la narration. On peut remarquer ces alternances grâce aux différences dans le langage : tantôt familier, tantôt soutenu. Aux expressions argotiques succèdent les tournures littéraires telles que « les reflets éteints de ses cuivres » .
Le naturalisme est présent dans cette imitation du langage des ouvriers.
En effet, Zola montre le vrai visage du peuple, et explique au lecteur comment parle et pense un ouvrier. La gradation « qui à la longue devait envahir, répandre et inonder » est une énumération allant de manière croissante. Elle illustre les dangers de l’alcool et le caractère inéluctable de l’alcoolisme en milieu ouvrier.
Cet extrait est une prémonition du destin de Gervaise et un portrait pathétique de l’ouvrier. Zola montre ici le déterminisme héréditaire et social.
Déterminisme :
Le déterminisme est une notion philosophique qui considère que le hasard et la liberté n’existent pas, n’ont aucun effet. Ainsi, le caractère et les agissements d’un individu pourraient s’expliquer par son milieu social et familial plutôt que par ses choix.
C’est ce que Zola illustre avec Gervaise. Cette dernière est prédisposée à l’alcoolisme par son milieu social, le milieu ouvrier (dans lequel l’alcoolisme était très présent à cause de la difficulté des conditions de vie), mais également par sa famille (son père, sa mère et ses grands-parents étaient alcooliques).
Conclusion :
Le naturalisme repousse les limites du réalisme. À la manière d’un chirurgien qui ouvre un corps pour mieux l’explorer, le naturaliste dissèque la société toute entière. Il propose une analyse fine du contexte dans lequel évolue son sujet d’étude mais dévoile aussi les rouages de l’âme. Dans L’Assommoir , Zola décrit la grandeur et la décadence de son héroïne. Il offre à la postérité une grande œuvre littéraire ainsi qu’une précieuse étude sociologique du milieu ouvrier sous le Second Empire.

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